1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle : masturbation et hypersexualité.


    Datte: 22/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Olga T, Source: Hds

    Avertissement : au cours de ces derniers mois, j'ai trouvé un nouvel équilibre entre Philippe et Agun et une meilleure maîtrise de mon hypersexualité.
    
    Je vais donc espacer ces publications, dans la mesure où l'essentiel de ce que j'ai pu vivre au cours de toutes ces années a déjà été relaté.
    
    Il y aura cependant encore quelques textes, qui ne suivront pas forcément la chronologie, à commencer par celui-ci qui concerne la masturbation féminine. J'ai écrit ce texte comme un clin d'oeil à une de mes plus fidèles lectrices, avec qui j'ai évoqué le sujet en privé. Elle se reconnaîtra.
    
    Depuis mon plus jeune âge je me masturbe : il ne se passe pas une journée, sauf quand je suis indisposée, où je ne pratique pas ce plaisir qu?on appelle à tort solitaire. Car chez moi, la pratique est loin d'être seulement solitaire, à la fois par goût de l'exhibitionnisme, mais aussi pour offrir mon plaisir à mes partenaires.
    
    MA PLUS ANCIENNE PRATIQUE
    
    J'ai déjà raconté comment, à peine adolescente, j'avais, à leur insu, surpris mes parents en train de faire l'amour. J'ai, par la suite, sans être repérée, épié les ébats de l'un avec ses nombreuses maitresses et de l'autre avec son amant.
    
    J'ai longtemps pensé que les gémissements, les cris, que j'entendais, les traits du visage déformés, que tout cela exprimait une souffrance, provoquée par ce long morceau de chair qui s'enfonçait dans l'intimité de la femme. J'ai fini par comprendre qu'il ne s?agissait pas de souffrance, mais de ...
    ... plaisir.
    
    Je ressentais alors une vive jalousie, ayant développé un complexe d'Electre : j'aurais voulu être à la place de ces femmes. Et en même temps, je ressentais une pulsation constante, ma petite culotte était mouillée. Mes lèvres intimes devenaient grosses, la peau picotait. Pour me calmer, je caressais instinctivement mes petits seins, étonnée que leurs pointes se durcissent ainsi. Je respirais profondément pour essayer de contrôler ces pulsions. Cela se renouvelait à chaque fois que j'assistais à ces scènes interdites.
    
    La seconde fois que cela m'est arrivé, j'ai cru que j'avais fait pipi dans ma culotte, quand j'ai senti une humidité chaude. Je ressentais une bouffée de chaleur, avec des picotements dans mon clitoris, et ça augmentait l'humidité. C'était comme une pulsation dans la vulve qui n'arrête jamais.
    
    C'est peu après que j'ai découvert l'endroit où était rangée la clé de la bibliothèque familiale. J'ai fini par trouver ce qui devait rester hors de ma portée : les nombreux ouvrages érotiques de la bibliothèque familiale, dont beaucoup étaient en Français, ce qui n'était pas un obstacle, ayant toujours été bilingue.
    
    J'ai déjà raconté combien furent importantes pour moi ces lectures, notamment celle d'Emmanuelle et du Déclic, la bande dessinée de Milo Manara. C'est qu'à cette époque, il y a près de trente ans, internet n'était pas accessible. J'attendis d'être seule à la maison pour pouvoir lire tranquillement dans ma chambre ce qu'on avait voulu me ...
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