Big Ben Bed - Histoires de Sexe

Big Ben Bed

... !

Charles s’approche de moi, tant bien que mal. Arrivé à ma portée, il s’affale :

— Eh bé, Michel, quel bazar ! Dans le bon sens du terme… J’ai déjà vécu des trucs pas tristes, mais je dois reconnaître que ta Véro, elle dépote, et pas qu’un peu !
— Alors, convaincu par ma petite bonne femme ?
— Tu m’as surtout convaincu qu’elle était bonne tout court !

Je me rengorge :

— Elle est mieux que ça !
— Ah bon ? Tu veux dire quoi par là ?
— Attends…

Je me relève assez péniblement, le « lit » est quand même mou et peu stable. Je m’approche de Véro qui branle nonchalamment un Denis qui sourit béatement. Pour quelqu’un qui ne devait que regarder… Ma poule préférée lève la tête vers moi :

— T’es jaloux ? Tu veux que je te branle un peu ?
— Non merci, j’ai envie de mieux !
— Et quoi ?
— Lève-toi quelques secondes, tu vas vite comprendre !

Je prends carrément sa place sur le gros coussin de sol, elle me regarde faire, un peu étonnée. Une fois que je suis bien positionné, lui désignant ma queue bien en forme, je lui dis :

— Assieds-toi dessus, que ma bite remplisse bien ta chatte !

Elle sourit :

— Tu veux démontrer quoi ? Que tu as un certain avantage sur les autres ?
— En quelque sorte ! Tu as à moi, ma Véro.

Elle pose son doigt sur mon nez :

— Tu sembles oublier un détail, mon petit Mimi !
— Lequel ?
— Mon mari…

Ah oui, c’est vrai, son mari… Alors que je suis en train de cogiter à une bonne réplique, me tournant le dos, Véronique s’assoit ...

... posément sur ma verge bien dressée, l’engloutissant sans aucun effort dans sa belle chatte détrempée par tant de luxure et de débauche depuis tout à l’heure. Je me dis qu’il faut que je renonce à comprendre quoique ce soit aux femmes et en particulière à celles qui nous offrent tant de plaisir !

En parlant de plaisir, ma maîtresse ne se prive pas d’en prendre, elle remue furieusement autour du pieu que je lui enfonce dans ses entrailles, et je dois prendre sur moi de ne pas céder trop vite. Tout le monde nous regarde, c’est étrange d’être le centre de mire des autres compagnons dont la plupart aimeraient sans doute être à ma place. Mais voilà, c’est moi, Michel, l’officiel de Madame, pardon, l’amant officiel de Madame ! Heureusement pour ma résistance, elle jouit très vite, sous l’œil attentif de tous les hommes présents autour de nous.

Détendue, repue, elle soupire :

— Y’ a pas à dire, un bon petit coup de queue dans la foufoune, ça fait du bien !

Et sur ces bonnes paroles, elle se relâche complètement, utilisant comme reposoir ! Peu après, s’enhardissant, Joël s’approche de Véro, toujours assise sur ma bite :

— Je… il y a un truc que j’aimerais faire, quelque chose que je n’ai jamais pu concrétiser.
— Et c’est quoi ?

Il se penche à l’oreille de Véronique pour expliquer son fantasme, celle-ci se fend d’un large sourire :

— Très bonne idée ! On va même le faire tout de suite !
— C’est… c’est vrai ? Là, maintenant ?
— Bien sûr !

Elle tourne la tête ...