1. Big Ben Bed


    Datte: 22/07/2021, Catégories: fhhh, nympho, collection, Oral pénétratio, fsodo, totalsexe, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... aussi venu avec un coussin déballé ainsi qu’un autre pour le renfort. Après l’avoir essayé, je reconnais que ce n’est pas mal du tout, ça me donne même des idées polissonnes, il faudra que je m’en procure un. Mais chaque chose en son temps.
    
    À peine le lit fini que Véro et son homme arrivent à l’heure dite. Nous sommes déjà tous dans la benne quand nous voyons sa voiture arriver. Enveloppée dans un ample manteau, ma maîtresse se précipite vers la benne, suivie à pas plus lents par son mari, je descends afin de l’aider à monter sur l’escabeau que nous avons dû placer. À peine voit-elle ce grand lit improvisé qu’elle s’exclame :
    
    — Waow la vache ! Ça rend bien !
    — Je te l’avais dit ! Tu voulais être surprise, je crois que c’est réussi.
    — Oui, c’est vrai, Mimi, je ne peux pas dire le contraire.
    
    Véronique se plante au milieu de la benne, juste à côté des deux coussins de sol, puis mettant ses mains sur ses hanches, elle me lance :
    
    — Et si tu nous présentais ?
    — Pas de problème ! Voici Jean-Jacques, le blond ; à côté de lui, c’est René à la barbe fleurie ; ensuite le grand Joël qui frôle les deux mètres ; Charles, le faux-Gabin, qui nous a fourni la benne et enfin Denis, le notaire-routier, qui nous a fourni tous les coussins.
    — Enchantée ! moi, c’est Véronique, et mon mari, Patrice.
    
    Pivotant sur elle-même, Véro regarde bien chacun d’entre nous, jaugeant les aptitudes. À son tour, elle est scrutée de la tête aux pieds. Je surveille Charles du coin de l’œil, car ...
    ... il évalue ma maîtresse avec une forte acuité, comme s’il avait quelque chose en tête, je connais trop bien ce magouilleur, il me dépasse souvent ! Les autres sont plus dans l’incrédulité ou l’admiration. Cette phase d’observation m’amuse, je sens distinctement le désir s’éveiller. Ce qui suit l’éveille encore plus !
    
    Véro adopte une posture assez insolente, celle de la femme sûre de son effet, celle de la belle salope qui sait qu’elle sera bien baisée, et d’une voix sensuelle, elle annonce :
    
    — Et si on passait aux choses sérieuses ?
    
    Aussitôt, joignant le geste à la parole, elle ouvre son manteau et le laisse choir au sol. Elle le chasse négligemment d’un coup de pied. Durant ce temps, nous les hommes, nous sommes tous à la contempler, les yeux grand ouverts, et pour certains, la langue pendante ! Son mari, resté sur l’escabeau, s’amuse beaucoup de la situation. Juste à côté de moi, j’entends Denis murmurer :
    
    — Eh bé ! Ça va déjà plus loin que je ne l’aurais imaginé !
    
    Il faut dire que Véro a mis le paquet pour sa tenue. Je n’ai jamais vu cette femme mal habillée, elle met un point d’honneur à se mettre en valeur, et je reconnais que c’est très plaisant. Et je sais par son mari que c’est la même chose dans la vie de tous les jours. La première fois que je suis venu chez eux, j’ai découvert, stupéfait, la vaste garde-robe de Madame. Et je ne vous parle même pas des chaussures par paquet de dix paires !
    
    Sous son manteau, Véro a mis un ensemble noir et rouge, ou ...
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