1. Berlin, son histoire, ses vices (2)


    Datte: 22/07/2021, Catégories: Lesbienne Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... caméra en se léchant un sein, je crois encore la voir me dire qu’elle me veut.
    
    Après une nouvelle douche, la troisième cassette coulisse dans le lecteur. Maintenant, là, sous mes yeux avides de découvertes, de nouvelles sensations, c’est nettement plus soft. Une femme domine une autre femme. Tout dans ce film n’est que douceur sensualité et tendresse. Enfin, ce n’est pas franchement un film à l’eau de rose, mais quand même. Dans un magnifique salon, la dominatrice y attache tendrement sa compagne soumise, cela se passe dans un bel appartement cossu. La soumise se voit obligée de lécher délicatement les pieds gainés de soie de sa dominatrice. Cette dernière flatte le cul de sa docile soumise de petits coups de cravache. Je me branle encore en voyant la soumise et la dominatrice jouir de concert, l’une avec un énorme vibromasseur dans son sexe, la dominatrice jouissant des coups de langue de sa docile servante. Je ne peux plus détourner mon regard de ces images qui défilent devant moi. Je me vois, je m’imagine à la place de cette soumise, non pas que je sois lesbienne, mais à cause de la douceur de cette soumission lascive. Vers la moitié du film, la dominatrice muselle sa servante, lui met une laisse, une grande cape noire sur son corps nu. Elles sortent dans la rue. Mon Dieu, juste dans ce fameux quartier, devant ce petit bistrot où j’avais bu un thé. La soumise se voit encore affublée de menottes à ses poignets et dans le dos. À ses chevilles, une autre paire vient ...
    ... entraver sa marche. Je jouis encore de voir la domina ouvrir la cape devant une vitrine de lingerie fine en disant à sa soumise, comme pour la narguer, l’humilier davantage, qu’elle ne portera plus de dessous aussi sexy à l’avenir. Un dernier orgasme me dévaste quand, au milieu d’une petite place, devant un drapeau arc-en-ciel, la dominatrice retire carrément la cape des épaules de sa soumise. La laissant tomber au sol, elle oblige sa victime à se mettre à genoux pour la ramasser entre ses dents. N’en pouvant plus, j’éteins tout, je suis morte, je m’allonge sur mon lit sans repasser par la salle de bain. Fermant mes yeux, je m’imagine vivre dans ce quartier. Je rêve que cet homme m’entreprenne cruellement de ses galants gestes devant Béa obligée de me lécher la motte.
    
    Et puis boum, je me réveille, en milieu de journée, le cul par terre, la chatte détrempée de mouille, le corps tout en sueur. Que m’était-il arrivé ? Aussi, après une longue douche, je retourne dans cette boutique sans perdre une seconde. Je veux rencontrer cet homme, lui poser des tonnes de questions. Malheureusement pour moi, si Béa, la vendeuse, celle du film, est bien là, lui n’y est pas. Alors, dans un coin, bien à part, je la questionne. Pour de vrai, je lui fais subir un véritable interrogatoire, presque policier. Elle me fait découvrir son monde en me racontant un peu de son parcours à travers ses réponses. Quand je lui dis que je veux tenter une courte aventure, elle a un doux sourire sur son beau visage ...
«1234...7»