1. LES ROUTIERS SONT SYMPAS (9)


    Datte: 21/07/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Petikokin, Source: Hds

    ... soif de sexe et avale de plus belle le membre d’un homme inconnu qui venait de lui raviver les flammes de son désir... Son cœur ne l’a pas contredite ni empêchée. Son instinct est sincère, elle ne le regrettera pas... Elle émiette des sons de jouissance. Sa chatte mouille fortement,dégouline en continu. Je suis aux anges et gémis pareillement.
    
    Elle me pompe un peu, puis, étant sur le dos, elle vient se mettre à cheval sur mon bassin. Elle s’empale sur mon pieu de chair, jusqu’au plus profond de son ventre. Arrivée au fond elle commence une danse chaloupante en tous sens.
    
    Elle est tellement bien dans son rêve des choses que nous venions de vivre ensemble, de ma bouche, de mes lèvres sur ses lèvres, sur ses chairs pubiennes que l’envie lui a pris de s’ouvrir plus.
    
    Elle me happe de ses cuisses, de ses talons. Elle a tiré mes fesses de ses mains, J’étais en elle, doucement, plus iprofondement....
    
    Et moi qui, jusqu’alors n’avait pas giclé depuis quelques semaines, je sens ma bite hoqueter et déverser au creux d’elle mon stock de spermatozoïdes et de leur jus d’accompagnement dans son douillet réceptacle.
    
    Elle enfonce encore plus dans son minou, inondé et glissant, ce chibre qui lui donne tant de bonheur. Elle reste collée à moi pour sentir toute ma queue en elle. Elle se fait jouir comme elle aurait toujours aimé. Elle jouit au-dessus de ses espérances et souhaite que ça ne s‘arrête plus. Ce deuxième orgasme lui explose la tête, lui broie les tripes. Elle ne peut ...
    ... résister. Elle s’envole vers un paradis qu’elle ne connaissait pas encore. J’arrête de remuer. J’attends son retour vers les réalités terrestres pour coller nos bouches l‘une sur l’autre et commencer une nouvelle série de baisers.
    
    Il est inutile de parler. Nous savourins, chacun à notre façon, ce merveilleux moment. Puis, dans une dernière étreinte, nous nous sommes assoupis pour le reste de la nuit...
    
    Á notre réveil, il fait grand jour. Dans la nuit, le vent s’était calmé. Les saleuses avaient rendu les voies de circulation praticables. Quelques camions s’étaient garés sur le parking. Nous nous sommes préparés pour sortir à l’air libre, rejoindre le bâtiment. En passant, j’essaie, la voiture refuse toujours de démarrer.
    
    Deux chauffeurs, qui sortaient des sanitaires me demandent :
    
    « Tu as des ennuis ?
    
    C’est la dame qui n’arrive pas à faire démarrer sa voiture...
    
    Avec ce froid, il n’y a rien d’étonnant...
    
    J’ai bien peur que ce soit la batterie qui a lâché...
    
    Mets-toi au volant, on va te pousser... »
    
    Je m’installe aux commandes, mets le contact, enclenche la troisième vitesse, desserre le frein à main et en maintenant la pédale d’embrayage enfoncée, donne le signal. Quand la voiture prend assez de vitesse, j’embraye. Le moteur tousse, fait quelques tours et s’arrête. Nous faisons un autre essai. Le moteur démarre. Je le tiens accéléré. Je remercie les collègues qui vont rejoindre leurs véhicules.
    
    Après quelques minutes, je relâche la pression sur la ...
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