1. LES ROUTIERS SONT SYMPAS (9)


    Datte: 21/07/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Petikokin, Source: Hds

    ... Nous sommes omoplates contre omoplates, fesses contre fesses, talons contre talons. En plus, je sens son parfum, sa douce odeur de femme. Malgré mes promesses, dans ma tête je fantasme et, en même temps, j’ai pitié d’elle. Cela ne m'empêche pas d’avoir une érection depuis qu’elle est montée dans la cabine.
    
    Bien installé à ma place, je ne bouge pas. Par contre, derrière moi, Annie, que je crois endormie, remue dans son sommeil. Un bras glisse entre nos fesses. Je passe le mien pour le relever. Nos mains se touchent. Nos doigts s'entrelacent. Elle se tourne légèrement, me souffle dans l’oreille :
    
    « Vous ne dormez pas ?...
    
    Non....
    
    J’ai envie... »
    
    Persuadé qu’elle veut aller aux toilettes, je me fais le plus petit possible, à plat ventre pour la laisser passer. Au bout de quelques secondes d’attente, ne la sentant pas bouger, je tourne la tête vers elle et lui demande :
    
    « Alors, vous y allez ?
    
    Aller où ?
    
    Aux toilettes... Vous m’avez dit que vous aviez envie...
    
    Ce n’est pas d’aller aux toilettes que j’ai envie... C’est de vous que j'ai envie... J’ai envie de faire l’amour...»
    
    Heureusement que je suis couché. Sinon, j’en serais tombé sur le cul...
    
    Elle se tourne complètement, met un bras autour de ma taille et me caresse le ventre, puis dirige sa tête vers la mienne. Très surpris par sa demande et la douceur du geste, je bredouille, je marmonne. Je me tourne pour lui faire face, Je passe un bras sur son dos, l’attire, la plaque contre mon corps et ...
    ... l’embrasse. Son corps chaud se contracte. Elle répond, écarte ses lèvres. Nos langues se rencontrent, s’emmêlent. Le baiser est long, profond, fougueux.
    
    Je n'en peux plu... Je me demande ce qui se passe. Elle me prend dans ses bras.
    
    C’est incroyable pour moi... Je la laisse faire pour me concentrer, ne pas brusquer ou rater cette espèce de miracle.
    
    Je me mets à caresser son dos doux et harmonieux, ses fesses bien faites, rondes et rebondies. J’évite d’approcher de son entrecuisse, de son pubis, de son sexe
    
    M’ayant avoué qu’elle n’avait plu de plaisir, depuis longtemps, avec son mari, elle aussi doit antasmer : tant d’années sans être tripotée, caressée, sans jamais déclencher ni jouissance, ni orgasme. Puis, brusquement, simplement, parce qu’elle s’est laissée aller, le pied absolu, fulgurant et tonitruant, le nirvana à portée de mains.
    
    Je me retiens d’aller trop vite pour ne pas risquer de la répugner. Elle peut avoir une réaction de refus, me repousser. Je ne laisse pas cette pensée me faire arrêter l’exploration de ce corps encore inconnu.
    
    Je lui ôte le tee-shirt et lui suce les seins. Je frotte ma verge bien raide contre son corps. Elle en bave, émet des sons de plaisir. Sa chatte mouille abondamment. Je sens son humidité contre mes cuisses. Je suis aux anges.
    
    Je lui prends une main et la guide sous l’élastique de mon slip. Au contact de ma verge gonflée et tendue, elle a un mouvement de surprise et de recul... Je la retiens et lui fais refermer ses ...
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