1. COLLECTION BLACK. La queue noire. (2/3)


    Datte: 21/07/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    • Fait bon voyage Robert, téléphone dès que tu arrives, tu sais que j’ai peur avec ces attentats.
    
    C’est par ces mots que j’ai quitté mon médecin de mari parti pour Marseille à un congrès démontrant que rhume ne veut pas dire antibiotiques.
    
    Ne trouvant pas de taxi, je prends le métro comme je le faisais dans ma jeunesse avant de devenir une bourgeoise, moi la fille d’un mécanicien de Gentilly.
    
    Dans le métro, je sens, une verge semblant assez imposante dans mon dos, regardant dans la glace de la porte, je vois un grand noir qui me quitte me laissant circonspecte.
    
    Arrivée Place Pigalle, je vais prendre un rafraîchissement dans un bar, c’est la journée des noirs, il y en a un qui m’interpelle, j’ai des ennuis de santé, j’ai des moments où ma langue va plus vite que ma pensée, je lui demande s’il est vrai que les noirs ont un grand et gros sexe.
    
    C’est incroyable, lui ayant donné trop de renseignements, il vient me retrouver à l’hôpital et me propose de me raccompagner vers Pigalle, quartier où mon mari a son cabinet.
    
    Je remonte Paris sur sa Vespa vers mon domicile où mon mari est absent encore pour deux jours, mes bras autour de sa taille, mes mains sentant bien qu’à ma question, sur la longueur de sexe noir, il faut répondre « oui. »
    
    • Où t’arrêtes-tu, j’ignore même ton nom alors que tu connais le mien !
    
    • Nous sommes au bas de mon immeuble, pour monter au troisième, il suffit de passer la porte à droite de ce café, il est vrai que je suis impoli, mon ...
    ... père me mettrait une torgnole s’il savait que je t’ai emmené sur mon engin sans te dire mon nom, Amadou.
    
    • Amadou quoi !
    
    • Amadou c’est mon nom comme toi, c’est Odile, excuse, il faut le retenir, je n’ai pas de gourmette en or comme toi, pour me le rappeler en cas d’amnésie.
    
    • Tu te moques, pourquoi m’as-tu arrêté au bas de chez toi, tu espères que je vais monter boire un dernier verre après que j’ai senti la grosseur de ta verge !
    
    • Encore perdue fifille, toujours l’esprit mal placé, si je t’avais demandé où tu habites, tu m’aurais éconduit, pourtant on a relativement le même âge.
    
    Il me donne ma date de naissance.
    
    • Es-tu devin ?
    
    • Encore piégé, esprit d’observation, as-tu sur toi ta date de naissance.
    
    • Sur ma gourmette.
    
    • Quand tu t’accrochais à mon sexe, elle était retournée et j’ai vu que tu étais du 12 février, moi du 13, jour de chance dans mon pays.
    
    • D’où es-tu ?
    
    • Sénégal, je suis venu en France à l’âge de trois ans, justement un 13, mais juin.
    
    Alors, tu montes boire ce dernier verre ou tasse de café.
    
    • Tu sais être persuasif.
    
    Trois étages par un petit escalier, il ouvre sa porte, il est galant, il est passé devant moi, évitant ainsi de me mater les fesses.
    
    Robert, quand nous montons dans notre logement au-dessus de son cabinet un peu plus haut vers la place, vient toujours derrières moi, mais c’est pour me mettre la main sous la jupe et me caresser la chatte.
    
    Il nous est arrivé plusieurs fois qu’il me baise dans le ...
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