Jeanne la femme de mon patron 2
Datte: 21/07/2021,
Catégories:
Masturbation
Mature,
BDSM / Fétichisme
Auteur: saintklausien, Source: xHamster
... comme on dit. Cool me dis-je en moi-même.
"Oui monsieur, je retournerai manger chez mes parents sur le temps de midi puis serai de retour vers 1300 heures", "Parfait Charles, j'apprécie".
La matinée s'est déroulée comme prévu, je n'ai malheureusement pas vu Jeanne et était dans la partie privative et s'activait.
Devant effectuer des allées et venues dans le couloir pour me rendre dans la cave réserve, je ne manquais jamais de regarder en direction de la véranda. Arrgghh, je viens de rater de peu Jeanne, elle vient juste de mettre du linge à sécher. Dans le linge qui séchait, j'y ai aperçu de banaux sous-vêtements et notamment deux ou trois panty clairs et un très foncé, mais aussi quelle ne fût pas ma joie de voir qu'elle avait mis à sécher le même type de sokas que j'avais soigneusement cachés dans ma chambre. Wahou, mon sexe se réveilla dans mon boxer sous la salopette.
Donc vers 1200 heures, retour maison et repas. Juste après m'être lavé les mains à l'étage, je file dans ma chambre et récupère mes propres sokas. Heureusement que je n'y avais pas éjaculé dedans.
De retour à l'atelier vers 1300 heures, donc, rien de spécial, mis à part que Jean doit aller rechercher un cadre (de vélo) à l'émaillage au centre ville, une commande de dernière minute pour un groupe de cyclo-touriste de la principauté. Quant à moi je suis afféré tant physiquement sur mes vélos que mentalement sur ce que je ne parviens pas à ôter de ma tête, c'est-à-dire les sous-vêtements qui ...
... sèchent et les sokas que je regarde à chaque passage de part le couloir.
Oh miracle, Jeanne sort de la partie privative car un client vient d'entrer. Au passage elle me salue par le dépôt d'un petit bisous sur la joue. Elle est toujours habillée pareil, chemisier clair à petites fleurs, jupe trois quart à carreaux, panty sombres ici et ses chaussures ouvertes.
Tandis qu'elle s'affaire avec le client et doit se rendre sur le parking de l'autre côté de la rue pour décharger le vélo du client, j'en profite pour prendre ses sokas et y mettre les miens sur le fil à linge. Mon coeur bat la chamade, je crois qu'il va me sortir par la gorge. Mais non, tout se passe bien et je retourne à mon ouvrage dans l'atelier.
De l’atelier, je vois Jeanne derrière le comptoir, elle est debout sur une jambe, l’autre la droite, elle est relevée et son tibia est parallèle avec le sol, le pied est donc sorti de sa chaussure ouverte. J’en fais une fixation de ce pied. Je m’imagine entrain d’y toucher délicatement le talon, de le masser doucement. Lorsque toujours entrain de parler avec le client elle remet machinalement son pied pour ensuite le sortir et ce à quelques reprises, je me demande qu’elle tête elle ferait si sa chaussure lui échapperait et viendrait se perdre sous le comptoir massif en bois.
Merci seigneur. Elle se retrouve un pied sur l’autre jambes donc croisées et ne bouge plus. Je me marre discrétos.
Le client parti, je vois Jeanne de plus embêtée en essayant de récupérer sa ...