1. Ludo vs Elise - 1


    Datte: 19/07/2021, Catégories: fh, fhh, fbi, hbi, hplusag, fplusag, frousses, gros(ses), groscul, hotel, voyage, volupté, cérébral, Masturbation Oral fgode, nopéné, ecriv_c, Auteur: Lys d'Oran & Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... Inutile d’insister, je ne pars pas tant que je ne suis pas sûre que vous soyez bien installé dans la suite que je vous ai réservée.
    
    Il ne pouvait s’empêcher de penser que, si cette femme tenait mordicus à le suivre jusque dans sa chambre, c’est qu’elle devait avoir quelque dessein peu avouable. Il en était très flatté. Élise, pour qui se charger de tout semblait très naturel, déclencha la porte du coffre et indiqua les bagages au portier. Ludo se sentait vraiment comme un V.I.P. et cela lui faisait naïvement plaisir. Ils entrèrent ensemble dans un hall tout de marbre et de riches boiseries. Ils se dirigèrent vers le pupitre des réservations, où on les invita à s’asseoir dans de somptueux fauteuils, tandis que non moins de trois jolies jeunes femmes souriantes s’occupaient de son inscription. Ici, le client est roi, manifestement, jugea Ludo. Lisant dans ces pensées, Élise se pencha et lui chuchota :
    
    — Ce n’est pas comme ça dans tous les hôtels, hélas. Mais il n’y a pas très longtemps que celui-ci a ouvert ses portes, et ils doivent se faire une réputation. Il y a beaucoup de concurrence parmi les petits hôtels de luxe dans le Vieux. Mais vous êtes justement le genre de client que celui-ci cherche à attirer.
    — Et quel genre de client suis-je exactement, d’après vous ?
    — Eh bien, vous êtes de ces gens d’affaires européens qui ont des goûts branchés, qui ont beaucoup voyagé, qui aiment ce qui sort de l’ordinaire, qui cherchent à allier le plaisir aux choses ...
    ... sérieuses…
    
    En lui remettant sa clé électronique dans un étui de cuir sur lequel était inscrit le numéro de sa suite, l’une des hôtesses indiqua à Ludo le très bel ascenseur de fer forgé et lui souhaita un agréable séjour. Il découvrit qu’il lui fallait utiliser la clé dans l’ascenseur pour se rendre à l’étage voulu. Élise lui expliqua que c’était parce que sa suite occupait tout le dernier étage de cet immeuble.
    
    Silence pesant dans l’ascenseur. Élise avait, soudain, perdu sa faconde. Seuls leurs yeux se parlaient. Une tension toute sexuelle s’installa entre eux. La porte s’ouvrit sur une grande pièce ensoleillée avec d’énormes fenêtres. L’étonnement enfantin dans lequel sa vue plongea Ludo détendit pour un temps l’atmosphère. L’opposition entre l’ameublement des plus modernes et ces hauts plafonds vieillots charmèrent le Français. Une porte-fenêtre donnait sur un balcon et, fin du fin, une cheminée détonnait admirablement dans ce décor moderne. Ludo se demanda si elle était opérationnelle. La plus minuscule des chambres dans un hôtel de cette classe à Paris lui aurait coûté le double.
    
    — Vous êtes sûre de ne pas m’avoir menti sur le prix ?
    — Vous aimez ? lança Élise, visiblement fière de son coup.
    
    La chambre était superbe et très aérée en ce bel après-midi de juin, et la vue sur la ville imprenable. Tout criait confort exquis.
    
    — C’est vraiment très beau ! Vous aviez raison, Élise. C’est cent fois mieux qu’un de ces hôtels passe-muraille que nos amis ricains ont implantés un ...
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