1. Le manoir du péché (3) : FANTASME AU TÉLÉPHONE…


    Datte: 18/07/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... et avec lenteur était descendu pour s’empaler dessus. Couché de dos à même la moquette, j’avais croisé les mains derrière la tête en soupirant. Elle avait d’abord contracté ses parois intimes tout en caressant mes bourses pleines. Elle s’était mise à me pomper avec délicatesse, complètement immobile.
    
    - Il bande bien... Je le sens bien en moi... Tu n’en peux plus... Oui… branle-toi mon chéri... Fait comme ta femme... Prend ton pied... Que je joue bien la comédie... Mais c’est grâce à toi mon amour. Tu m’excites tant...
    
    J’étais de plus en plus tourbillonnant. Surtout avec la vue de sa posture. Les reins cambrés, ses cuisses gainées de résilles fléchies sur les hauts talons. Son fessier débordant du collant obscène.
    
    Après avoir posé le portable sur le divan, par légers à-coups, elle commença à faire coulisser ma verge dans sa chatte. À monter jusqu’à la limite du gland pour redescendre aussitôt, avec une extrême lenteur. De temps à autre elle sortait mon membre et le frottait sur son clitoris. Cela avait duré un long moment. Avant qu’elle soit emportée par une montée de spasme. Montant et descendant à toute vitesse, sa croupe rebondissant sur mon ventre. Elle se mit à divaguer. Laissant échapper de sa bouche des mots très crus. Il en allait de même du côté de l‘écouteur, d’où sortait des :
    
    - Salope... Salope... Tu prends ton pied... Je suis sûr que tu te branles avec un concombre... Salope...
    
    Je n’avais jusqu’alors pas échangé une seule parole avec ...
    ... Mauricette.
    
    - Dans mon cul… je le veux... Dans mon cul, tu entends...
    
    - Oui salope je t’entends... Mais le cocombre dans ton cul... Et partage avec moi la sensation...
    
    Elle se retira et colla ma verge entre ses fesses. D’une main, elle en avait écarté l’entrée, tandis que de l’autre elle faisait pénétrer l’extrémité de mon gland. Une fois bien logée dans la chaude corolle, elle s’était abaissée avec un râle.
    
    - Ça y est, fit la voix impatiente dans l’appareil... Tu te l’as mis dans le cul ?
    
    - Oui mon chéri et bien profond...
    
    La sensation de chaleur était inexprimable. Elle me fit voyager quelques instants avant de crisper durement les fesses. J’étais au bord de la rupture. Je l’avais saisie par la taille pour la coucher sur moi et empoignant ses seins gonflés. Et seulement là, j’avais craché ma semence brûlante dans son sphincter.
    
    - Putain il jute... Il jute dans mon cul... Je sens son sperme.
    
    - Si tu veux savoir salope moi aussi je jute... Oh putain que c’est bon... Ah ! Ah ! Je ne peux plus m’arrêter de juter...
    
    C’est alors qu’une voix féminine, paniquée se fit entendre dans l’écouteur. Couvrant même la divagation du mari, et qui disait :
    
    - Que t’arrive-t-il mon fils, tu fais un cauchemar... Tu es soufflant... Et la communication se coupa.
    
    - Tu ne peux pas savoir le pied que je viens de prendre, me fit Mauricette. Indifférente à ce qui venait de se dérouler du côté de son portable. Comme si elle n’avait rien percuté.
    
    - Ton mari en est pour beaucoup... ...