1. Le manoir du péché (3) : FANTASME AU TÉLÉPHONE…


    Datte: 18/07/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    FANTASME AU TÉLÉPHONE…
    
    Alors que je m’apprêtais de rentrer chez moi après avoir verrouiller les volets du manoir, je fus alerté par de la lumière s’échappant des fenêtres du salon de chez Mauricette. Il ne m’en fallait pas plus pour m’en approcher. Je la découvrais assise sur le divan le téléphone collé à son oreille.
    
    Oubliant le code du savoir-vivre et aussi les bonnes manières. Je pris l’initiative de passer la porte d’entrée. Elle ne fut pas plus surprise que ça de me voir devant elle. Continuant sa conversation après m‘avoir jeté un clin d’œil.
    
    Elle avait le corps revêtu d’une combinaison de résille qui laissait apparents ses fesses et le triangle touffu de sa chatte. Des mules léopard complétaient l’ensemble. Mais ce qui m’avait le plus suffoqué chez elle, était son visage. Ses yeux paraissaient comme étirés. Ses lèvres peintes d’un rouge violent. Elle semblait tout de même fière de son effet. Je n’avais pas pu me contenir de tendre mon bras en direction de son sexe. Pour me permettre l’accès elle avait ouvert le compas de ses jambes en souriant. Un désir sale s’installa en moi alors que j‘effleurais son pelage doux. Une excitation plus abjecte que d’habitude qui m’amollissait le ventre.
    
    - Si tu veux, mon chéri, dit-elle à son interlocuteur qui ne devait-être que son époux. Dis-moi entre nous cela te direz de joué un petit jeu polisson avec moi ?... Lequel ? Nous pourrions nous branler par téléphone interposé... Ta mère ? Mais n’était-elle pas un peu ...
    ... sourd ? Et quand bien même, elle doit être en train de dormir, non ? Je me trompe?... Ça te dit. Houais tant mieux... Alors jouant. Comme tu sais je me trouve au salon en petite tenue... Bien sûr que j’ai fermé les rideaux, je n’ai pas envie quand me regarde... Bon commençant. Tu te rappelles du soir où nous faisions l’amour en imaginant qu’il y avait avec nous ton collègue, comment s’appelait-il déjà ? Oui c’est ça Jean Michel... Tu te rappelles avoir pris un bon pied... Et bien je te propose de recommencer... Il vient de me rejoindre et se tiens à mes côtés... Qui ça ? Mais mon amant... Ah ! Tu veux que je lui donne un prénom à mon amant pour faire plus vrai... Je ne sais pas moi, tu as une idée... Oh ! Non pas lui... Pas lui non plus... Le gardien ? Pourquoi pas... Donc Alain se trouve à mes côtés. Fit-elle en me lançant des œillades tout en se dandinant sur place, redressant les épaules pour faire pointer davantage sa poitrine sous la résille. Dont les tétons dardés s’échappaient d’entre les mailles.
    
    Je m’accroupis devant ses jambes toujours grandes ouvertes et penchais ma tête à la hauteur de sa toison.
    
    - Tu sais il ne perd pas de temps le coquin... Il vient de ce placer entre mes jambes... Pour quoi ? À ton avis...
    
    Il se dégageait de son sexe une odeur vaguement écœurante. Du bout des doigts, j’écartais les grosses lèvres luisantes de mouille pour ouvrir sa fente.
    
    - Il prend son temps le bougre... M’ouvre de ses doigts... J’en es des frissons plein le ...
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