1. Noms d'oiselle


    Datte: 19/05/2018, Catégories: fh, couple, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Masturbation facial, Oral fdanus, fsodo, coprolalie, jeu, fsoumisah, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... assez saisissant.
    
    M’offrant une vue magnifique sur sa belle fente déjà largement entrouverte, elle joue de ses doigts manucurés. Elle caresse ses douces lèvres luisantes, s’amuse avec un capuchon rosé et taquine un petit clitoris qu’on pressent très sensible…
    
    — Continue ainsi, gourgandine !
    — Hummm… Oui, Maître… dit-elle dans un souffle.
    
    Bouche ouverte, aspirant l’air, elle s’active plus encore, ses doigts chargés de cyprine, sa fente devenant de plus en plus blanche sous l’évidente excitation. Elle gémit, elle souffle, elle tressaille. Ses ongles disparaissent sous la cyprine qui les couvre. Sa fente s’élargit plus encore pour accueillir ses doigts qui lui font tant de bien. J’imagine toutes les queues qu’elle pourrait engloutir pour assouvir son désir ! Elle murmure, elle expire, elle soubresaute.
    
    Je suis fasciné par les longs filets de cyprine qui relient ses doigts à sa chatte. Je suis envoûté par le plaisir qu’elle se donne, ma sensuelle soumise si obéissante à mes ordres, ma tendre trimardeuse que j’hésite entre la donner à tous et me la réserver exclusivement.
    
    Ses doigts détrempés et gluants, sa fente largement ouverte et ruisselante, elle jouit sans retenue, bruyamment, impudiquement, tandis que je contemple le splendide spectacle qu’elle m’offre.
    
    --ooOoo--
    
    Je décroche le téléphone afin de commander les pizzas que j’irai ensuite chercher. Elles seront prêtes dans quinze-vingt minutes environ. Il me faut facilement cinq minutes pour y aller : il ...
    ... me reste donc environ dix minutes de battement.
    
    Adeline est à nouveau dans la chambre, se reposant ; je m’empare d’un périodique. Les minutes passent, les pages se tournent une à une. À la fin d’un reportage, je consulte ma montre puis je lance :
    
    — J’y vais. Prépare tout, ma morue salée !
    — Ma morue salée ? Tu as été chercher ça où ?
    — Je ferai comme si je n’ai rien entendu, ma merluche.
    — Oh, pardon, Maître…
    
    Je monte dans la voiture. La campagne, c’est bien beau, mais souvent il faut parcourir des kilomètres pour trouver une boulangerie, et ici, une pizzeria. Bon, il est vrai qu’il n’y a pas un chat sur la route non plus. Quelques kilomètres plus tard, j’arrive à bon port. Ma commande étant déjà prête, je repars aussitôt. Juste après être sorti du village où est située la pizzeria, je donne un coup de fil :
    
    — Allô, mon boudin préféré, c’est bon, j’ai tout. Je serai là dans cinq minutes environ.
    — Bien, Maître. Votre crevette des mers aura tout préparé.
    — Crevette des mers ? C’est une insulte, ça ?
    — Une crevette, ce n’est pas précisément un prix de beauté, Maître…
    — Dois-je comprendre, ma leste limande, que tu es justement un prix de beauté ?
    — C’est vous qui l’avez dit ; pas moi, Maître vénéré.
    
    Je me contente de rire tout en coupant la communication. Cinq minutes après – je suis ponctuel – je suis de retour. Je referme le portail puis je rentre, pizzas en mains. Comme convenu, la table basse du salon est apprêtée tandis qu’Adeline est agenouillée juste ...
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