Noms d'oiselle
Datte: 19/05/2018,
Catégories:
fh,
couple,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Masturbation
facial,
Oral
fdanus,
fsodo,
coprolalie,
jeu,
fsoumisah,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... débauches ! Ce fameux dé que j’ai trouvé au sol, juste quelques minutes avant de rencontrer pour la première fois celle qui partage actuellement ma vie et mes nuits. Coïncidence troublante qui me permet de justifier allègrement certaines petites choses pas racontables aux esprits purs et chastes…
Je n’ai jamais compris à quoi servait réellement ce dé, d’où il sortait. Pas même une trace sur Internet, mais je sais m’en servir lors de nos jeux en chambre close. Une chose étrange quand j’y songe : il est toujours tombé sur la face que je convoitais. Enfin, presque toujours. Les rares fois où il ne l’a pas fait, c’était mieux ainsi…
Je secoue la tête ; je vais finir par croire au pouvoir mystérieux de ce petit cube noir ! Adeline, elle, y croit presque. Ça m’arrange.
Oreillette en place, je donne le second coup de fil rituel du retour. Chaque jour de la semaine, il en est ainsi : je la dépose au matin. Arrivé à mon travail, je donne un petit coup de fil. Idem à midi. Et juste avant de partir la chercher. Et enfin, quand je suis presque arrivé, afin qu’elle quitte son boulot.
— Allô, ma chérie ? Ca y est, je suis dans le grand virage final. Plus que deux feux et je serai là, à l’endroit habituel. Oui… Bisous !
Deux feux qui se mettent exprès au rouge alors que j’arrive. On dirait que c’est voulu, qu’ils me guettaient ! Tant pis, j’attends. Quelques minutes plus tard je suis arrivé ; je me gare comme je peux et je patiente. Peu après, Adeline apparaît au coin de ...
... la rue. Il est impossible ou presque de la récupérer juste devant son travail ; il est utopique de tenter de se stationner : il y a des piquets partout, et quand ce ne sont pas des piquets, ce sont de grosses bornes en béton. Rien que des bureaux dans ce coin, et aucun dépose-minute, pas une seule place de parking. Ces urbanistes sont vraiment nuls !
À présent, Adeline longe le grand bâtiment en acier et en verre, regarde à gauche puis à droite et traverse prestement la rue du mieux qu’elle peut, perchée sur ses hauts talons. Puis elle vient vers moi, bien en face. Je peux la contempler à mon aise : un beau petit lot, avec sa petite veste en jean, sa jupe de la même matière et son chemisier vif. Oui, un beau petit lot, assurément !
Je me penche, je lui ouvre la portière de l’intérieur, un geste qu’elle aime beaucoup. Elle s’engouffre aussitôt dans la voiture ; je mets le contact, elle met sa ceinture puis je redémarre aussitôt, car dès qu’il y a un peu moins de voitures qui passent, il faut à tout prix en profiter, sinon on peut rester coincé longtemps.
À peine cinquante mètres plus loin : feu rouge. J’en profite pour lui faire un petit bisou.
— Bonsoir, ma chérie.
Elle me tend ses lèvres mais ne dit rien. Je suis un peu déçu. Le feu passe au vert, et peu après nous sommes sur la voie rapide, dans un trafic particulièrement dense. Je sens que ça ne va pas être de tout repos de retourner chez nous, malgré le fait que nous soyons un mercredi. Là-bas au loin, un ...