1. Noms d'oiselle


    Datte: 19/05/2018, Catégories: fh, couple, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Masturbation facial, Oral fdanus, fsodo, coprolalie, jeu, fsoumisah, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... d’abonder la plupart du temps dans son sens, et surtout de ne pas tenter de résoudre ses problèmes. Il m’a fallu des années pour comprendre cette chose toute simple : elle parle, j’écoute.
    
    Nous approchons de notre village ; elle continue de parler de sa journée. Puis à l’instant même où nous dépassons le panneau indicateur, elle se tait. Adeline sait très bien jouer le jeu, à condition que la partie adverse soit irréprochable. Une fois ceci compris, ça ouvre de larges horizons, et j’en profite depuis quelques années.
    
    --ooOoo--
    
    Peu après nous arrivons devant chez nous. Je stoppe la voiture et je lance :
    
    — Va m’ouvrir le portail, belle catin.
    — Votre belle putain y va tout de suite…
    
    Alors qu’elle tourne la grosse clé et qu’elle fait pivoter les deux grilles, je me souviens de la fois où elle a tenu absolument à ouvrir le portail sous une pluie battante. Elle était trempée, ses vêtements collaient sur sa peau : c’était très érotique ! Ce serait dommage d’installer un portail automatique.
    
    Et le bain plein de mousse qu’elle avait pris ensuite n’avait pas été un long fleuve tranquille…
    
    Le portail ouvert, je rentre la voiture. Ça y est, nous sommes enfin chez nous. Je regarde dans la boîte à lettres tandis qu’Adeline s’engouffre dans la maison, où je la suis peu de temps après. Elle m’attend debout dans le salon, son imper déjà ôté, jambes écartées, mains sur les hanches. J’ai comme l’impression qu’elle a vraiment appris par cœur mon mail…
    
    Pour éviter de ...
    ... parler – car mon stock de gros mots est faible – je me contente de claquer des doigts tout en m’enfonçant confortablement dans un fauteuil, histoire de profiter au maximum du spectacle.
    
    Toujours vêtue de sa petite veste, de sa jupe en jean et d’un chemisier aux tons vifs, Adeline vient se planter, jambes en V, au milieu du salon, face à moi. C’est avec un large sourire qu’elle commence à ôter sa veste bleutée, révélant ses épaules couvertes d’un assez fin tissu. Elle minaude un peu, ce qui lui va très bien, puis d’un geste ample elle lance sa veste qui retombe sur la table basse du salon. Son chemisier est décidément trop fin ; encore heureux qu’elle ne travaille quasiment qu’avec des femmes, sinon je me poserais bien des questions. C’est vrai que je n’avais tout à fait bien réalisé ce matin combien ce vêtement pouvait être aguicheur pour qui sait voir.
    
    Elle se caresse lascivement le corps, insistant sur ses hanches, ses jambes. Puis, pivotant sur elle-même, elle recommence son petit manège, côte pile afin que je ne perde rien de ses deux faces, ce dont je le remercie intérieurement. Puis d’un geste gracile, elle ôte sa première chaussure qu’elle pose à côté d’elle, au sol, révélant un mignon pied gainé de noir. Je ne suis pas un fétichiste des pieds, mais je ne déteste pas m’attarder parfois sur cette partie anatomique. Peu après, l’autre chaussure prend le même chemin, puis elle esquisse un pas de danse.
    
    Elle virevolte sur elle-même, faisant quelques gestes aériens, ...
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