Noms d'oiselle
Datte: 19/05/2018,
Catégories:
fh,
couple,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Masturbation
facial,
Oral
fdanus,
fsodo,
coprolalie,
jeu,
fsoumisah,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... disais.
Elle soupire à nouveau, mais elle s’exécute. Elle s’active autour de ma tige, alternant doigts et langue. Elle s’offre même le luxe de chapeauter mon gland de ses douces lèvres humides. Que faire de plus que de se laisser aller ?
— Mets ta tête sur mes cuisses, ma belle suceuse : je veux pouvoir te voir quand je t’en foutrai plein le visage.
Sans me lâcher, elle change de place. Elle sait très bien s’y prendre pour rendre un homme fou. Je me demande soudain si d’autres en profitent actuellement… Je chasse cette idée ; l’instant est à ma branlette, qu’elle mène d’une main d’experte.
— Votre grognasse vous contente comme il faut ?
— Oui… oui… T’es une branleuse d’enfer !
— Merci Maître. Donc votre fosse à jus d’homme vous donne toute satisfaction ?
— Ah… je ne la connaissais pas, celle-là : fosse à jus d’homme.
— Votre chieuse essaie de faire preuve d’imagination… ce n’est pas toujours facile.
— Je vois ça… je vois ça… Tais-toi, belle connardeuse (je viens juste de l’inventer), et travaille !
— Bien, Maître.
Elle s’active de plus belle, presse mes couilles, joue avec mes boules ; c’est divin. Elle comprime adroitement ma tige, la caresse, la choie, utilisant alternativement doigts et langue comme tout à l’heure. Elle coiffe à nouveau mon gland de ses délicieuses lèvres chaudes ; sa langue insidieuse titille mon méat. Je commence à avoir des spasmes, une envie irrésistible de tout lâcher ; ma tige frémit, oscille, elle amplifie le mouvement, ...
... l’accentue, le magnifie !
Dans un râle, je lâche ma première salve qui vient s’aplatir entre nez et sourcil, sur son œil fermé. Elle continue de me masturber fortement ; une deuxième salve jaillit pour mourir sur son front.
— Enfourne, salopiotte !
— Oui, Maître.
C’est sur ses dents du bas que s’écrase la troisième décharge, dont une partie dégouline sur son menton. Elle engloutit toute ma tige ; je me laisse aller. D’autres salves jaillissent, tapissant sa bouche.
— Avale tout, grosse bâtarde !
— Hon, hon…
— Avale tout, trou du cul, bac à sperme, grosse vache à foutre ! Tout ! Tout !
Elle avale tout. Vous ne pouvez pas savoir à quel point avoir une femme qui avale peut procurer comme satisfactions ! Sans parler du sperme, de mon sperme qui dégouline le long de son visage… Je ne saurais pas expliquer, mais c’est génial ! Il a y quelque chose comme de l’obéissance, de l’abandon, le fait de faire plaisir à l’autre. Et puis, nous aimons bien avoir une belle cochonne dans notre lit ; et avaler, c’est le signe des vraies cochonnes !
Peu après, c’est elle qui se frotte sur ma queue qui reprend de la vigueur. Je résiste tant bien que mal à ces sensations si fortes. Ma belle salope se déchaîne, elle épouse à fond ma tige autour de ses lèvres détrempées, mon gland qui ripe sur son clitoris. Je regarde son visage révulsé aux yeux clos, ses commissures luisantes de sperme, mes deux traces de jets sur son front et un peu plus bas. Oui, quelle admirable salope ! Ma femme est ...