1. Aux obsèques en porte-jarretelles


    Datte: 16/07/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fdanus, coprolalie, jeu, fouetfesse, Auteur: P-hpassage, Source: Revebebe

    ... sûr que je sais ce que vous voulez : que je vous fasse gicler…
    — Ouiii !
    
    o o o O o o o
    
    Le lundi suivant, le boss passe prendre Nicole chez elle.
    
    En jupe ample de couleur gris foncé, chemisier blanc transparent, foulard mauve autour du cou, elle a choisi ses escarpins les plus hauts, noirs, aux talons fins. Pour rester d’apparence décente, son manteau la couvre jusqu’au bas du cou.
    
    — Nicole, vous êtes très sexy en femme éplorée !
    — Je vous plais ?
    — Comme toujours, ma femelle préférée.
    
    « Je suis une femelle faite pour exciter les hommes, "sa femelle préférée" ! » Une sourde excitation l’envahit. En conduisant, il a posé sa main sur le genou de Nicole, flattant des doigts l’attache de la cuisse couverte de bas couleur taupe. Quelques minutes plus tard, le désir de Nicole est trop fort. Les cuisses légèrement écartées pour offrir son genou à cette main qui le caresse, qui remonte lentement sur la cuisse pour redescendre aussi vite, l’incite à en vouloir plus. À environ un kilomètre de l’église, elle demande :
    
    — Arrêtez-vous sur le côté, s’il vous plaît : j’ai une proposition à vous faire.
    — Un coin tranquille ?
    — Ce n’est pas nécessaire : où vous voulez. Mais ne nous mettez pas en retard.
    
    Il trouve une place, se gare le long du trottoir.
    
    Elle se penche vers lui, le fixe d’un regard trouble. Puis, d’une voix rauque :
    
    — Voulez-vous vérifier ? Vérifier que la tenue de votre femelle préférée est adéquate pour des obsèques ?
    — Je n’osai pas vous le ...
    ... demander, bien que j’en brûle d’envie.
    
    Il remonte sa main sous l’ourlet de la jupe, lentement, trop lentement pour Nicole. Elle écarte les cuisses de plus en plus au fur et à mesure que la main progresse vers le haut. Les doigts accrochent l’attache d’une jarretelle, glissent le long de la peau chaude et moite.
    
    — Nicole, vous êtes terriblement excitante…
    
    Elle adore cette main qui prend possession de son intimité, ces doigts qui courent le long de sa peau. Les cuisses largement écartées, un talon posé sur l’accoudoir de la portière, elle se prête à la caresse.
    
    Les doigts écartent avec fébrilité la culotte de soie beige, puis plongent dans la masse de chairs trempées d’excitation. Elle se cambre, avance les fesses sur le devant du siège de cuir pour mieux s’offrir à cette main diabolique.
    
    — Vous êtes trempée… J’adore écarter vos poils pour fouiller votre chatte ; c’est brûlant, à l’intérieur… Vous allez couler sur le siège, cochonne !
    
    « Mon Dieu, c’est bon, trop bon ! Je vais jouir s’il continue. Je suis folle de faire ça en pleine ville ; si un passant nous voit… » Nicole, sous l’emprise des vagues de plaisir qui déferlent dans son ventre, saisit le poignet de l’homme.
    
    — Stop ! Vous en avez assez vu, dit-elle en criant presque. Je crois que j’ai taché ma jupe. Et puis des passants pourraient nous voir.
    — Pas grave, votre manteau cachera l’auréole.
    — Tss-tss, soyez sage, répond-elle en soupirant.
    — Vous croyez que c’est facile de me retenir ? Donnez-moi ...
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