1. Aux obsèques en porte-jarretelles


    Datte: 16/07/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fdanus, coprolalie, jeu, fouetfesse, Auteur: P-hpassage, Source: Revebebe

    ... monde.
    — Ah bon. Et quand auront lieu les obsèques ?
    — Eh bien, c’est un peu ennuyeux, mais elles sont fixées lundi prochain.
    
    Un sourire illumine le visage du boss.
    
    — Lundi… Je serai disponible. Voulez-vous que je vous accompagne ?
    — M’accompagner ? Mais pourquoi donc ? Vous n’avez pas à…
    — Nicole, je serais enchanté de vous tenir compagnie ; ces moments sont souvent difficiles à vivre.
    — Difficiles ? Pas du tout. À part la famille de mon beau-frère – que d’ailleurs ma sœur et moi ne voyons pratiquement jamais – personne ne sera vraiment triste.
    — Permettez-moi d’insister : nous sommes "proches", je me dois d’être à vos côtés.
    
    « "Proches" ; il a dit "proches". Après ce qu’il m’a fait faire, je comprends ce qu’il veut dire ; et puis lundi, c’est… » Il lui prend la main, plonge ses yeux dans ceux de Nicole.
    
    — Nicole ?
    — Oui, mais… lundi, c’est… porte-jarretelles day !
    — Bien entendu, répond-il en riant.
    
    Elle sourit, un frémissement qu’elle connaît bien court le long de son dos.
    
    — Je vous vois venir. Je ne vais quand même pas y aller avec un porte-jarretelles, ce serait indécent.
    — N’aimez-vous pas l’indécence ? Imaginez-vous dans cette église ; tout le monde prendra un air triste, tandis que vous, Nicole, vous qui aimez les situations, disons… équivoques, vous aurez l’apparence d’une femme sérieuse avec des dessous de…
    — Salope ! C’est ce que vous voulez dire ?
    — On peut le dire comme ça. Ce serait excitant, autant pour moi que pour vous.
    — Vous ...
    ... êtes vraiment pervers !
    — Je ne le nie pas ; c’est ce que vous aimez, n’est-ce pas…
    
    Il la saisit à la taille, la colle contre lui, glisse ses mains sur ses fesses, flattant les rondeurs. Leurs lèvres se joignent. Le baiser est voluptueux, les langues se mêlent dans un échange de salive chaude. Elle s’imagine dans l’église, le boss assis à ses côtés, collant sa cuisse contre la sienne, en tenue de femelle prête à se faire enfiler. À cette idée, sentant l’excitation monter, elle presse son pubis contre le sexe dur.
    
    — Monsieur… arrêtez, vous m’excitez avec vos histoires.
    — Moi aussi vous m’excitez… Voudriez-vous me sucer, ma chère femelle préférée ?
    
    Quelques secondes d’hésitation ; elle soupire, remue les hanches pour mieux sentir le désir de l’homme qui la trouble avec cette histoire de porte-jarretelles, puis :
    
    — Peut-être aimeriez-vous voir mes "gros nichons", comme vous dites, pendant que je vous suce ?
    
    Elle dégrafe la fermeture Éclair de sa robe ; le haut tombe à sa taille, puis le soutien-gorge, exhibant ses seins alourdis par l’excitation. Elle s’agenouille, et avec frénésie elle plonge la main pour extirper la queue dure. D’une voix rauque chargée d’excitation, elle lui crie presque :
    
    — Vous me rendez folle… oui, votre femelle préférée va vous sucer, sucer votre sale bite de pervers !
    
    En fixant des yeux le membre qu’elle s’apprête à déguster, elle demande :
    
    — Mais après je veux que vous me fassiez jouir, comme la première fois, vous savez…
    — Bien ...
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