1. Dans le noir (2)


    Datte: 16/07/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... ça dans les fesses ?
    
    — Ça mon amour ça s’appelle un « rosebud » et c’est fait pour ce genre de jeu.
    
    — Tu es fou… c’est bien trop gros ! Et puis ici…
    
    — Allons un zeste de courage, veux-tu. Il te suffit de relever ta jupe et de la placer sur la rosette… après ça va glisser tout seul et le renflement là, l’empêchera de ressortir, c’est aussi bête que ça.
    
    Je ne comprends pas pourquoi l’idée de ce machin-là, planté dans mon cul peut te faire bander. Tu as de drôles de pensées tout de même. Et comme une idiote, j’enduis la longueur de bidule, je le frotte avec l’onguent que tu m’as déposé dans le creux de ma patte. Et bêtement je fais ce que tu veux. Tout d’abord, debout dans mon coin, je frotte l’objet de toute sa longueur dans ma raie des fesses. Et puis la partie effilée vient se positionner à l’aide de ma paluche contre mon œillet. Finalement c’est vrai que pas un regard ne se tourne vers moi.
    
    Tout doucement j’appuie sur la partie plus plate qui tient le caillou ou le verre grenat. Et lentement, sans bruit le truc semble aspiré par mon anus. J’ai les yeux dans les tiens et nos quinquets brillent d’un coup. Avoir mis cela là a fait monter une certaine envie chez moi. Et la bosse que tu me fais voir me prouve que toi aussi, tu apprécies soudain, ce geste que je juge idiot. Me voilà avec ton « rosebud » dans le derrière et lorsque je me rassois, l’effet est des plus insolites. Dérangeant pour le moins et je me tortille un peu comme si ça allait arranger les ...
    ... choses.
    
    La sortie du restaurant est cocasse. Une incroyable impression que toutes les paires de mirettes des clients du restaurant sont sur mon derrière. Bien sûr, il n’en est rien, mais je songe que ma démarche est spéciale. Je tente de rester la plus naturelle possible. Tu me souris et l’espace qui nous sépare de la caisse où nous nous rendons pour payer devient interminable. Celui qu’il nous faut traverser pour sortir ne l’est guère moins. La chose en moi se met en place et au bout de quelques instants, alors que nous croisons l’intégralité du parking, hors de vue de tous les autres, je respire un peu mieux.
    
    C’est là, juste avant de monter en voiture que tu me prends par le bras. Le baiser qui nous unit à quelque chose de doux, de tendre. Sensuel, c’est bien le qualificatif qui convient pour ce rapprochement labial qui me donne des frissons. Et puis tu esquisse là, un pas de danse, sans musique. Et alors que je tourne avec toi, je ressens des sensations totalement inconnues qui partent de l’endroit où est niché l’objet. J’en attrape une chair de poule formidable, incompréhensible même.
    
    — Si tu veux, nous allons danser un peu.
    
    — Tu connais donc une boite dans le coin ?
    
    — Oui ! Allez, monte ! Non attends pas comme ça
    
    Alors que tu me tiens la portière ouverte, tu me guides sur le siège, mais je ne vois pas du tout comment tu veux que je m’assoie.
    
    — Remonte ta jupe s’il te plait
    
    — Pour quoi faire ?
    
    — J’aimerais que seule ta peau soit en contact avec le cuir ...
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