Hélène, notre amour - Histoires de Sexe

Hélène, notre amour

... s’humidifier.

Je leur propose un break et nous allons dans la salle à manger déguster une tarte arrosée de champagne. Annick, qui s’est installée à côté de moi, continue à me masturber espérant que mon vit regonflera rapidement. Hélène vient lui prêter main forte et les quatre mains qui me caressent arrivent, après de longs efforts, à faire relever la tête de mon phallus.

Annick, me tirant par le pénis, retourne au lit suivie d’Hélène. Celle-ci s’allonge et suce ma femme qui s’est couchée sur elle en position 69. Je sais combien celle-ci aime que je lui lèche l’anus et je la comble. Je me relève et je vois son anus comme je ne lui ai jamais vu : largement ouvert ! Je me couche sur son dos et j’installe ma verge sur sa rondelle. Je lui demande si elle veut bien que je la sodomise. Je l’ai déjà fait et j’en ai retiré beaucoup de plaisir. Mais pas elle. Pourtant elle accepte.

Je n’ai pas beaucoup d’effort à faire pour la pénétrer. Je vais et je viens dans son anus qui est plus étroit que son vagin. Au bout de quelques minutes, j’entends la respiration de mon épouse s’accélérer. Puis elle pousse un grand cri. Ses mouvements sont tels que je manque d’être désarçonné. Ma verge quitte le fourreau et je dois redonner un fort coup de rein pour la pénétrer de nouveau. Le frottement est si dur dans son petit anus que je jouis quasiment en même temps qu’elle.

Hélène nous a raconté la scène vue d’en dessous. Lorsqu’Annick a commencé à jouir, elle a écrasé sa vulve sur le nez d’Hélène l’empêchant de respirer pendant quelques secondes.

Ce fut vraiment une forte jouissance. « Le super-pied » estima ma femme. Hélène dut attendre le lendemain pour l’éprouver aussi. « Le panard » affirma-t-elle.

Nous vivons tous les trois ensemble depuis plus de trente ans. Elles ont eu deux enfants chacune.