Hélène, notre amour - Histoires de Sexe

Hélène, notre amour

... s’accroissent, ses mouvements s’amplifient. Elle plaque son sexe contre ma bouche et se frotte vigoureusement contre, s’aidant du roulis de ses hanches.

À ce moment, je sais qu’elle va jouir. Ce sont cinq plaintes accompagnées d’autant de soubresauts qui marquent le paroxysme de son plaisir. Je relève la tête et l’admire. Elle est encore plus belle quand elle a connu le plaisir. Elle a les yeux fermés. Un sourire illumine sa face.

Je remonte sur ma bien-aimée, j’écarte ses cuisses et je m’allonge sur elle. Je m’agenouille et tente de la pénétrer. Elle empoigne ma verge et la présente à l’embouchure de son vagin. Je pousse lentement et en entrant en elle, je repense à la définition du sexe féminin donnée par Georges Brassens :Cet incomparable instrument du plaisir. Doucement je vais et je viens dans cette antichambre de la félicité en espérant qu’elle va de nouveau connaître l’ivresse de la béatitude. Je l’embrasse. Je sens que je ne pourrai pas l’attendre d’avantage. Alors, dans une dernière poussée, j’explose en elle et là, ô miracle, elle jouit également. Durant ma jouissance, je m’enfonce encore plus en elle tout en lui murmurant

— Oh, je t’aime ma chérie, je t’aime.

Je reste ainsi vautré sur et en elle jusqu’à ce que je débande. Alors il me revient que je ne pèse pas loin d’un quintal et, pour ne pas l’écraser, je glisse sur le côté et lui prends la main. S’adressant à Hélène, Annick lui demande :

— Est-ce que le spectacle t’a plu ?
— Oui.
— Et ça t’a ...

... excitée ?
— Je dois l’admettre.
— Jean m’a dit que vous avez déjà fait l’amour. Refaites-le. J’aimerais bien vous regarder.

Hélène est très étonnée et elle me demande s’il est vrai que j’ai prévenu mon épouse. Je réponds affirmativement. Je me lève de concert avec Annick et nous lui prenons chacun une main et nous l’attirons sur le lit.

Je l’embrasse tout en lui caressant un sein tandis que ma femme s’occupe de l’autre. Je suis étonné de la rapidité à laquelle j’ai rebandé. J’attire Hélène sur moi et je dégrafe son soutien-gorge. Aussitôt, je sens les mains de ma femme s’attaquant à ses merveilleux monticules. Je la replace sur le dos. Annick pose ses lèvres sur celles d’Hélène dont je prends la main pour la poser sur le petit sein gauche de ma femme. Je me lève et je fais glisser la jupe et la culotte de ma maîtresse découvrant son sexe énormément poilu.

J’écarte les poils et je dépose un baiser entre ses nymphes. Puis je lèche le sillon humide. Je remonte vers la poitrine opulente d’Hélène. Je prends une main d’Annick et je la pose sur la chatte d’Hélène et j’en fais autant avec une main de cette dernière sur celle d’Annick. Je me relève et j’admire ces deux femmes qui se masturbent. L’exhibition est si belle que je regrette de ne pas disposer d’une caméra pour les filmer.

Annick fait venir Hélène sur elle et elles frottent leurs chattes l’une contre l’autre. J’en profite pour caresser et embrasser les fesses qui me sont accessibles. La respiration des deux ...