Dans l'intimité d'Hélène
Datte: 13/07/2021,
Catégories:
ffh,
fbi,
fplusag,
rousseurs,
extraoffre,
voisins,
nympho,
grosseins,
essayage,
telnet,
fsoumise,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
coprolalie,
init,
couple+f,
Auteur: Yann, Source: Revebebe
... je vous doigte un peu la chatte, poursuivit-elle en réajustant son ensemble de laine. Un ensemble qui la moulait de façon très suggestive, sois dit en passant. Agathe est une belle et grande femme rousse, de type nordique.
— Oui, en effet, répondit délicatement Hélène, en laissant ses gros seins luisants de foutre exposés à nos regards. À moins que vous ne souhaitiez que je vous lèche la vulve, poursuivit-elle. Je pense que ce serait la moindre des choses, après mon inqualifiable conduite envers votre époux…
— Non, merci, ma belle, trancha Agathe avec un peu d’autorité dans la voix. Pas si vite. Restez comme vous êtes, d’abord, et allons prendre un rafraîchissement. Vous allez me raconter votre initiation. L’histoire semble prometteuse. Si vous m’excitez correctement, je vous offrirai le spectacle de ma chatte gonflée de désir, que je doigterai juste pour vous encourager. Et si vos confessions s’avèrent assez excitantes, je vous autoriserai sans doute à venir m’offrir votre langue…
— J’en serais très honorée, répondit Hélène avec sincérité.
Nous nous installâmes donc au salon. Hélène sur un fauteuil Louis XV, dignement installée, jambes croisées au genou, mais chemisier ouvert, et ses seins libres toujours humides et érigés. Agathe et moi en face d’elle, sur un très beau canapé ancien. Je bandais à nouveau, et ma queue faisait une très belle bosse dans mon pantalon.
— Alors Hélène, commença Agathe en ôtant sa jupe, Vous avez donc été initiée par une amie intime de ...
... votre mère… Ma femme ne portait plus qu’une superbe culotte de dentelle blanche, très souple, encadrée de porte-jarretelles. Elle s’assit, cuisses ouvertes, devant notre hôtesse, comme pour l’encourager.
Hélène ne put réprimer un soupir de désir. Son regard ne pouvait se détacher de l’entrejambe de ma femme, impudiquement ouvert. D’autant qu’une trace humide très explicite souillait la jolie culotte, et en disait long sur le désir que ressentait Agathe.
— Oui, en effet, commença Hélène. J’étais très amoureuse de cette femme, si belle, si impudique. Ma mère ne pouvait rien lui refuser, et je ne l’en admirais que davantage. Lorsque j’eu 18 ans, et que mon corps commença d’être celui d’une femme, le regard d’Annelyse à mon égard se mit à changer. Elle se mit à me prendre la taille, à me déposer des baisers dans le cou, à me caresser la croupe. Et je dois dire que cela me troublait, même si je ne comprenais pas vraiment ce que ces gestes signifiaient.
Un peu plus tard, vers 20 ans, j’ai vécu une très grande émotion érotique, dont je sais qu’elle avait été très minutieusement préparée pour moi : le mari d’Annelyse m’a demandé d’aller chercher un objet quelconque au grenier, à côté des chambres de bonnes. Lorsque j’y suis arrivée, j’ai entendu un long gémissement provenant de la chambre de Martine, notre domestique. Je me suis approchée, et… j’ai pu assister à un spectacle qui m’excite encore aujourd’hui. La jeune bonne, assise sur son lit, cuisses ouvertes, se laissait ...