Dans l'intimité d'Hélène
Datte: 13/07/2021,
Catégories:
ffh,
fbi,
fplusag,
rousseurs,
extraoffre,
voisins,
nympho,
grosseins,
essayage,
telnet,
fsoumise,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
coprolalie,
init,
couple+f,
Auteur: Yann, Source: Revebebe
Nous venions juste d’entrer dans le superbe appartement d’Hélène. Agathe promenait son regard inquisiteur sur le moindre recoin de la pièce. Visiblement, de tapis en napperons et autres bibelots, les lieux étaient un peu trop chargés, un peu trop « mémère » à son gout.
Mais je lisais dans son attitude que c’était précisément ce qui l’excitait.
Agathe portait un ensemble de laine très confortable, qui enveloppait son corps avec douceur et élégance. Parfaitement coiffée et maquillée, elle ressemblait à ce qu’elle était : une très belle femme de 30 ans, plutôt sophistiquée, occupant des fonctions de responsabilités qui la mettaient au contact du monde. Une belle urbaine élégante et distinguée.
En face d’elle, Hélène demeurait silencieuse. Tout en elle trahissait l’attente résignée, mais aussi… le plaisir. Le délicieux plaisir de l’attente. C’était une femme de la cinquantaine épanouie. Bien mariée, elle ne travaillait plus depuis longtemps et occupait son ennui et la vacuité de sa vie en activités de dame patronnesse, de bénévole de banlieue chic, et de sorties au musée avec ses amies semblables.
Mais elle occupait aussi son oisiveté en se livrant à d’autres activités bien moins conventionnelles, pour une quinquagénaire bourgeoise à la vie rangée.
— Il semblerait, Hélène, lui lâcha finalement Agathe sans cesser de scruter son intérieur, que vous adorez les situations insolites et… les photos pornographiques…
Agathe laissa flotter sa phrase dans l’appartement ...
... luxueux. Dehors, le ronronnement des voitures indiquait un flot tranquille d’après-midi, dans ce quartier bourgeois. La jeune femme fixa alors du regard celle qui aurait pu être sa mère, et la dévisagea. Hélène ne disait toujours rien. Mais l’expression de son visage exprimait l’attente, à présent. Sous l’impeccable chemisier, la lourde poitrine de notre hôtesse pointait sans équivoque. Agathe sourit avec gourmandise :
— Hummm, je constate que vous avez bien compris ce que nous vous avions demandé. Vos seins semblent magnifiques. Et j’adore les femmes isolées trop sages qui ne portent pas de soutien-gorge.
Hélène était une belle femme. D’allure effectivement très sage et classique, elle portait ses cheveux blonds en carré impeccable. Jupe, ceinture, bas, escarpins… son collier de perles sages, son serre-tête de velours noir, rien en elle ne suggérait la débauche ou la luxure, au contraire. Excepté cette provocation savamment orchestrée par Agathe : de magnifiques seins lourds et libres sous un chemisier parfaitement amidonné.
Agathe profitait de l’instant. Je savais que rien ne l’excitait plus que ce type de situations. C’est elle qui menait le jeu. Elle pouvait exiger ce que bon lui semblait, au moment qui lui semblerait le plus opportun.
Hélène avait entrepris de nous servir des rafraîchissements. Elle s’affairait à déposer verres, boissons, douceurs sur la table basse de son salon. Ses gros seins dodelinaient sous son chemisier, tendu à craquer. Elle nous offrit ...