1. Les confidences d'un sac à main


    Datte: 13/07/2021, Catégories: fh, extracon, noculotte, préservati, pénétratio, confession, Humour extraconj, Auteur: Samuel, Source: Revebebe

    ... lui fais. Nous ne faisons quasiment plus l’amour. Il se contente de me voir ainsi et ça le fait bander avant de dormir. De toute façon, ça va repousser vite.
    — Bon, admettons, mais c’est la dernière fois. Ceci dit, tu n’échapperas pas à la punition.
    — J’adore tes punitions, tu le sais bien.
    — Pour cette fois, ce sera une fessée.
    
    Et Antoine prend sur ses genoux la grande dame et lui administre une bonne raclée. Elle hurle et jouit en même temps. Quand il la remet sur pied, il vérifie l’effet que ses mains rugueuses ont produit sur l’entrejambe de Marie-Ange. Elle vient alors vers moi, le cul rougi et le vagin humide, et elle m’ouvre. Ses mains sont chaudes et sa peau frissonne. Elle tremble parfois, s’énerve ou s’excite et me renverse sur le fauteuil pour trouver le préservatif, qui est pourtant toujours à la même place.
    
    — Qu’est-ce que tu fais toujours dans ton sac à main ?
    — Je prends un préservatif, parce que toi, tu n’y penses jamais.
    — J’ai horreur de ça.
    — Allons, sois sérieux. Regarde, je te l’applique avec la bouche. Je sais que ça te plaît comme ça.
    
    Avec un art consommé, mais qui a demandé des heures d’entraînement, elle ouvre le sachet avec les dents, se met le condom dans la bouche et en recouvre habilement le pénis de son partenaire. Elle transforme ainsi la pose du contraceptif en fellation. Ensuite, comme Antoine ne veut pas éjaculer trop vite – c’est son petit défaut – il est bien obligé de reculer, prendre une pause et il en profite pour la ...
    ... coucher sur le canapé. Il lui donne des ordres alors :
    
    — Ouvre tes fesses avec tes mains. Mieux que ça. Je veux voir ton œil noir. Creuse tes reins. Putain, ce que tu mouilles ! Caresse-toi. Mieux que ça. Allez, branle-toi. Mets-toi un doigt dans l’anus. Plus profond. C’est bien.
    
    Alors le plus souvent, il se jette sur sa proie, sans même trop savoir dans quel orifice il atterrit, et après quelques galipettes pas trop gracieuses, il pousse son fameux « Ouhaha, que c’est bon ! ». Il reste ensuite comme prostré sur les fesses de Marie-Ange qui regarde sa montre. En fait, elle cherchait depuis longtemps un amant rapide et discret. Elle n’a pas trop réussi sur la discrétion, mais Antoine est tellement rapide qu’elle sera rentrée à l’heure à la maison. Et ça, c’est appréciable. En effet, l’artiste se redresse après quelques minutes de pâmoison et se dirige vers la salle de bain. Il perd en route le préservatif.
    
    — Merde, je l’avais oublié, celui-là !
    
    Mais Marie-Ange est déjà rhabillée, repeignée, remaquillée, repartie. Seulement dans l’escalier, elle tombe sur un ami d’Antoine, Marian, un peintre polonais, qui l’a fait déjà poser nue. Elle est toujours tellement admirative des artistes… À l’issue de la pose, ils ont fait l’amour au milieu des pots de peintures et j’en ai reçu des éclaboussures qu’il fut bien difficile de nettoyer.
    
    — Non, Marian, aujourd’hui, je n’ai plus le temps… Il est 19 heures.
    — Allons, Petit Ange (il croit toujours que c’est son prénom), j’ai besoin ...