1. La laverie


    Datte: 23/01/2018, Catégories: inconnu, hotel, voyage, BDSM / Fétichisme nonéro, Humour occasion, Auteur: troubadour coquinou, Source: Revebebe

    ... sac, de la monnaie, et… et son numéro alors ? Ne devrait-on pas se revoir pour prendre un café avant qu’elle parte ? Elle a un repas le lendemain mais elle accepte. À la bonne heure ! Par contre, comment échanger nos numéros de téléphone quand personne n’a le sien sur lui, ni stylo pour écrire ? Qu’à cela ne tienne, c’est soirée informatique ! J’ouvre mon gestionnaire d’email, je lui demande de taper son adresse, et hop un courriel est parti !
    
    La voilà donc qui me quitte, et je ne rate pas l’occasion de la regarder consciencieusement alors qu’elle sort de la pièce. Mon regard descend le long de sa chevelure noire, aussi lisse et brillante que si elle était mouillée, pour finalement se poser sur son derrière, que je regarde sans me gêner. Les mouvements de son bassin sont harmonieux, et chacun de ses pas met en relief les formes de ses fesses sous le pantalon de pyjama. Ce genre de vêtement se descend très facilement, pensais-je, et se porte sans rien dessous, ce que le spectacle qui m’est offert me permet de confirmer. Dans le couloir, elle tourne brusquement la tête et fait un signe d’au revoir. Je relève aussitôt les yeux pour lui adresser un sourire maladroit. Damned ! A-t-elle ...
    ... vu que je lui matais tranquillement le cul ? Fort probable. D’ailleurs elle s’en doutait peut-être, et voulait s’en assurer. Mhm… je me demande si ça ne l’exciterait pas un peu, d’ailleurs… mais c’est trop tard, elle a déjà disparu ! Et puis qu’aurais-je pu faire ? Lui sauter dessus sauvagement sans crier gare ? J’aurais mieux fait d’aborder des sujets un peu intimes avec elle, au lieu de m’amuser comme un gamin ! Mince alors, j’ai peut-être raté une belle occasion. J’ai l’air fin maintenant, avec mon ordi et son sac de linge mouillé sur les bras !
    
    Dès lors, je me retrouve seul avec mes regrets. C’est beaucoup moins intéressant, et ma patience s’épuise. Tant pis, j’ouvre la porte de la machine, qui s’arrête aussitôt. Le linge est sec. Bien. Je le sors et, légèrement amusé par la situation, j’entreprends de transférer ses vêtements du sac à la machine. Passent alors sous mes yeux jupes, soutiens-gorge et autres petites culottes… par curiosité à peine malicieuse je détaille un peu, et remarque que tout est classique, rien d’affriolant. Sous-vêtements en coton, parfois de la couleur, du genre petites fleurs. Très sage tout ça.
    
    Rien qui puisse laisser suggérer la suite des évènements… 
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