TABLE DE SAPIN 16
Datte: 12/07/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
... envahit la pièce. Eberlué, je regardais Marilyne. Elle était rouge de honte et se confondit en excuse.
- Je ne sais pas ce qui m’arrive aujourd’hui ?
En même temps, je sentis qu’elle avait envie de se pouffer de rire… tout autant que moi, d‘ailleurs. Mais je me forçais de garder mon sérieux, et l‘immobiliser avec ce que je trouvais sous la main. Je me déshabillais.
- Tu bandes bien mon salaud. Fit-elle en tournant la tête. Tu pourrais me violer ?
- Non, je ne pourrais pas, et d’ailleurs tu es consentante.
- Tu sais que c’est un de mes fantasmes ? Le viole…
- Ah oui ! C’est bon de le savoir. Répliquais-je, en appuyant sur ses épaules pour la forcer à s’incliner. Jusqu’à ce que son buste épouse le plateau de la table. Je lui relevais alors sa jupe. Lui soutirai sa culotte en mousseline. Des filaments de mouille comme des fils d’araignée, pendaient entre les lèvres, accrochés aux racines des poils.
J’ajustais le gland à l’entrée de son vagin. Dès que le bout gonflé eut pénétré, je pesais de tout mon poids. Le con était si bien ouvert et si bien arrosé jusqu’au col que ma verge disparut dans la chatte avec un bruit de glissement mouillé. Elle gémit.
- Elle me remplit bien. Fit-elle. Elle est bonne. Je sens que je vais partir… Ajouta-t-elle en agitait le bassin à petits coups rapides. Je l’entendais haleter dans le silence. De plus en plus fort. Ne cachant pas son plaisir et hurlait comme ...
... une folle en gigotant dans tous les sens, D’une voix changée, elle exigea :
- Touche- moi le trou du cul… tu sais bien que j’aime ça… enfonce le doigt, vite…
Le m’exécutais en pointant mon majeur dans la raie béante, moite et rencontrais l’orifice boursouflée. Les traits figés, Marilyne, poussant dans son ventre comme pour chier. Ouvrant son cul.
- Encule-moi… encule-moi… fous moi ta queue dans mon cul.
Je compris à cet instant par son délire verbal qu’elle était proche de la jouissance. Comme pour me donner raison, son corps se mit à se tordre de plaisir. Des larmes de bonheur coulaient sur ses joues. Alors je me mis à la pistonner énergiquement.
- Oh, c’est trop… oh oui trop bon !
Sous moi, son corps s’arqua. Je sentis au niveau de mon sexe une inondation de mouille. Éclaboussant mes couilles et mon bas-ventre. J’étais en plein délire. Ça bouillonnait dans mon corps. Je planais. Oui c’était vraiment étrange. La jouissance qui montait en moi était indéniablement d’une force peu commune. Les jets de ma jouissance au fond de sa chatte, la firent sursauter comme sous l’effet d’une décharge électrique.
Deux jours plus tard, elle m’avait téléphoné. Pour me dire tout le plaisir qu’elle avait eu, et me proposer une autre rencontre. Nous avons fixé un rendez-vous pour le soir même étant donné que mes beaux-parents n‘étaient pas encore revenu de voyage. Mais cela fera l’objet d’un énième chapitre….