1. TABLE DE SAPIN 16


    Datte: 12/07/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    J’attendais que mes beaux parents partent en vacance pour pourvoir demander à Marilyne de venir me rejoindre dans leur maison. À l’abri de tout œil indiscret, comme ils nous arrivaient de le faire. Ce soir là, l’air ambiant était lourd, moite en cette journée de fin juin. C’était à peine si un courant d’air pénétrait dans la cuisine malgré les fenêtres entrouvertes. Mes sens en attente, fébriles, j‘attendais assis sur une chaise qu‘elle veuille bien arrivée. Mon sang bouillonnait. Il tapait mes tempes comme un roulement de tam-tam. Puis j’entendis un moteur de voiture. Enfin ! Elle arrivait.
    
    - Salut me fit-elle en franchissant la porte.
    
    - Salut ! Fis-je sans prendre la peine de me lever.
    
    - Que me vaut cette invitation ?
    
    - Tu ne t’en doute pas un peu ?
    
    - Non ! Enfin, oui… un peu. C’est pour ma vilaine altitude lors de mon anniversaire ?
    
    - Tu vois que tu sais ! Approche, veux-tu.
    
    - Qu’est-ce que tu as l’intention de me faire ? Me baiser ? Fit-elle, en s’avançant de deux pas avant de s‘immobilisée à seulement d’un mètre de moi, le regard contenant du défi.
    
    - Et si maintenant, Alain, je me refusais à toi aujourd‘hui ? Parce que c’est bien pour ça que tu m’as fait venir ?
    
    J’étais comme désarçonné par ce qu‘elle venait de me dire. Je voulu l’attraper, mais elle me repoussa, d’une vigoureuse secousse.
    
    - Répond-moi d’abord. Que ferais-tu si je ne voulais plus coucher avec toi ?
    
    - Je te dirai que tu ai une sacrée salope !
    
    - Ça tu ne me l‘apprend ...
    ... pas, mais encore ?
    
    - Je te donnerai une bonne fessée ! C’est peut-être ce que tu souhaites ?
    
    - Va savoir ?
    
    - Si c’est-ce que tu désires, alors ne traînant pas…
    
    Je la fis pour cela, se coucher de force en travers, sur mes genoux. Je trouvais ce mouvement merveilleux. Et que dire lorsque je soulevais sa jupe, révélant une petite culotte de mousseline de couleur noire. Dont je m’en saisis par l’élastique et la tirais vers le haut. Ce faisant, la fine bande de tissu s’enfonça dans le sillon fessier. Offrant à ma vue, deux joues jumelles scindées dans son milieu.
    
    J’avais le cœur qui palpitait. Je ne pus m’empêcher d’y poser une main sur sa chair rebondis. Que je pus m’empêché de frôler du bout des doigts. N’oubliant aucune parcelle de peau brûlante d‘excitation.
    
    Puis elle écartait les cuisses, comme pour s’ouvrir, s‘offrir à ma vue. Ses lèvres étaient toute luisantes de mouille. Une forte odeur de cul, de chatte, s’en dégagea.
    
    - Alors ! Cette fessée, c’est pour aujourd’hui ou pour demain ?
    
    C’était si bien demandé que je ne pouvais que m’exécuter. Je commençais par cinq claques douces, portées alternativement sur chacune des fesses. Déjà la marque de mes phalanges apparaissait sur la peau.
    
    - Tu me corriges là, ou tu me caresses ? Me questionna-t-elle.
    
    Pour toute réponse, je me mis à frapper longtemps, mais aussi plus durement. Et cela pour son plus grand plaisir. Puisqu’elle m’encourageait, d’une voix rauque :
    
    - Oui, oui ! Encore ! Plus fort, n’aie pas ...
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