Les minettes du Val de Saône (2) - Histoires de Sexe

Les minettes du Val de Saône (2)

... de la voir jouir, de la sentir se crisper sous la puissance de l’orgasme. Pour ça, j’avais envie de la toucher. Son bouton tout excité dépassait d’entre ses lèvres, et j’ai joué avec un instant, la faisant crier de plaisir, mais la position n’était pas la meilleure pour ça. Alors je l’ai prise par les hanches et l’ai soulevée, elle n’était vraiment pas très lourde, puis je l’ai mise sur le canapé, face contre les coussins.

— Encore... S’il vous plaît, encore...

Sa main avait glissé entre ses cuisses, ses doigts avaient glissé entre ses lèvres. J’aurais compris qu’elle en voulait encore, même si elle ne me l’avait pas dit. Alors je suis venu me mettre derrière elle, et j’ai glissé à nouveau mon sexe en elle. Une main sur sa hanche, j’ai commencé à la pénétrer en lui imposant mon propre rythme. Profond, et puissant. Noémie grognait, la tête enfoncée dans l’un des coussins. J’ai alors passé une main sous elle, à la recherche de son clitoris. Dès les premiers contacts avec mes doigts, les grognements de Noémie se sont transformés en cris. Ses cris m’excitaient terriblement, et m’encourageaient à donner de plus grands coups de reins. Ce qui la faisait crier encore plus.

Ce cercle vertueux, et mes doigts sur son bouton l’ont très vite menée à l’orgasme. Je l’ai sentie se tendre, agrippant le canapé le plus fort possible. Un cri plus aigu que les autres a resonné dans le salon, puis elle s’est mise à trembler comme un petit animal. Pour moi aussi, c’en était trop. J’ai ...

... éjaculé en râlant dans le préservatif.

Le calme est soudain revenu, et j’ai pris conscience de ce qui venait d’arriver. J’ai eu peur d’être allé loin avec cette fille, treize ans plus jeune que moi, que je ne connaissais qu’à peine. Et puis je l’ai regardée se retourner et s’allonger sur le canapé, elle avait un grand sourire aux lèvres.

— Je crois que c’était la meilleure baise sous drogue de ma vie, m’a-t-elle dit. Non, peut-être la meilleure baise tout court.

— Ah bon ? A ce point ?

— Ouais. Mais la prochaine fois, vous jouirez sur moi. J’adore quand on jouit sur moi.

— La prochaine fois ?

— Quoi, vous n’avez plus envie de moi ?

Elle avait un air sincèrement triste.

— Si, si ! Evidemment que si ! Je ne m’attendais pas forcément à d’autres fois, disons.

— Ah bah si, c’était trop bien ! Vous allez m’avoir sur le dos jusqu’à la fin de vos vacances ici !

J’ai eu un sourire. Je repensais à un texte de Nekfeu qui disait « je veux pas t’avoir sur le dos, je veux t’avoir sur le ventre », mais je ne lui en ai pas fait part. J’ai eu un autre sourire en pensant que la drogue faisait peut-être encore un peu effet. Toujours allongée sur le canapé, elle avait sa main entre ses cuisses, et passait ses doigts contre son sexe encore gluant.

— Je crois que j’ai besoin d’une douche, m’a-t-elle dit. Je peux ?

— Oui, bien sûr. Tu sais où c’est.

Elle s’est levée d’un bond, et s’est dirigée vers la salle de bain après m’avoir embrassé furtivement sur la bouche. ...