Les minettes du Val de Saône (2) - Histoires de Sexe

Les minettes du Val de Saône (2)

... alors rendu compte de ce que je venais de dire.

— Pardon, je ne sais pas pourquoi j’ai dit ça. Excuse-moi, ai-je dit en panique.

— Non non, s’est-elle empressé de me répondre, ne vous excusez pas. Il n’y a pas de soucis. Ça fait une semaine que je vous dis que vous auriez dû me punir, en plus.

Je n’ai rien trouvé à répondre ni à faire. J’étais juste incapable de défaire mon regard d’elle. Comme je ne faisais rien, Noémie a pris les choses en mains. Elle a posé son joint et s’est mise à quatre pattes pour s’approcher de moi. Sans que je comprenne vraiment ce qui se passait, elle venait de s’installer sur moi, en travers de mes cuisses. Son cul juste sous mes yeux. Je ne savais même plus quoi faire.

— Allez-y, l’ai-je entendue dire dans un souffle, punissez-moi.

Je tremblais, mais j’ai fini par poser ma main sur son derrière. Je l’ai sentie frémir au moment précis où mes doigts ont touché sa peau. Je l’ai caressée une seconde, et puis je crois que dans mon cerveau, tout s’est déconnecté, et alors je ne fonctionnais plus qu’à l’instinct.

Ma main s’est levée avant de s’abattre sur ce globe de chair parfait. Noémie a sursauté, mais n’a pas bougé. Alors j’ai continué à la claquer. Une fois la fesse droite, puis la gauche, puis des claques plus sèches. J’étais habitué à donner la fessée, cela a longtemps fait partie de mes pratiques sexuelles. Mais claquer ce cul, blanc, rebondi, parfait... C’était mieux que tout ce que j’avais vécu jusqu’ici. Blanches, ses ...

... fesses ne le sont pas restées longtemps. Très vite, les marques de ma main sont apparues sur sa peau laiteuse. C’était magnifique à voir. Je crois que je me suis arrêté après une douzaine de claques.

Mes doigts ont commencé à se balader sur sa peau, chauffée par le soleil et les coups. J’ai caressé ses fesses, puis ma main a inévitablement glissé entre ses cuisses. Le tissu de son maillot de bain était humide, mais ce n’était pas l’eau de la piscine. En sentant mes doigts sur elle, Noémie s’est mise à gémir doucement. Cela m’a encouragé à dégager le tissu, et à passer mes doigts en dessous. Son sexe était trempé. J’ai joué deux secondes avec elle, baladant mon doigt le long de sa fente, et elle gémissait de plus belle.

— Il va falloir que vous me baisiez, m’a-t-elle dit en chuchotant.

J’ai regardé autour de nous. Logiquement, on ne pouvait pas être vus, mais j’avais quand même des doutes. J’ai alors claqué son cul à nouveau, et lui ai dit de se relever et qu’on allait rentrer dans la maison.

L’instant d’après, nous étions dans le salon, et Noémie me poussait sur le canapé. Elle s’est jetée à genoux, à mes pieds, et a tiré sur mon short de bain qui ne cachait absolument rien de mon érection. Rapidement, elle s’en est saisie, et m’a regardé avec un sourire gourmand. Puis j’ai vu sa tête se rapprocher, sa bouche s’ouvrir, mon gland passer entre ses lèvres. Plaisir intense. Je n’ai pas pu retenir mon grognement en sentant sa bouche m’aspirer lentement. C’était ...