1. Jeux de guerre, jeux de filles


    Datte: 10/07/2021, Catégories: Première fois Hardcore, Mature, Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    Ce sont les récits de mon arrière-grand-mère qui m’ont mis la puce à l’oreille. Elle m’a parlé de la vie dans les campagnes pendant que la plupart des hommes étaient à la guerre. Dans le village où elle vivait, quatre hommes sur cinq étaient partis. Ceux qui étaient restés étaient soit trop jeunes, soit trop âgés pour combattre, soit ils avaient un problème dans leur tête ou bien un handicap physique. Autant dire que les femmes, même si elles étaient très occupées par le travail qu’il y avait à faire pour se nourrir, s’ennuyaient un peu. Alors, pour reprendre les termes exacts de mon arrière-grand-mère :
    
    « On prenait ce qu’il y avait. »
    
    Elle s’appelait Gisèle. Son récit m’a beaucoup plu. Il m’a rapidement donné des idées et des envies.
    
    « Dans les champs, j’aime autant te dire que ça y allait, m’a-t-elle aussi raconté. Et pas que les filles jeunes. Celles qui étaient mariées et qui avaient des enfants ne se gênaient pas non plus. Le peu de gars qui étaient restés en ont drôlement profité. »
    
    Je me suis imaginé beaucoup de scènes en l’écoutant. Des filles de mon âge, et des plus jeunes encore, et puis des femmes qui s’envoyaient en l’air dans la campagne dès qu’un homme s’approchait d’elles en leur faisant comprendre qu’il ne dirait pas non à une petite gâterie.
    
    Elle m’a cité des prénoms, mais la plupart des femmes en question étaient soient décédées, soit très âgées à présent, comme Gisèle.
    
    Gisèle qui a fini par me dire :
    
    « Garde-le pour toi, ma petite, ...
    ... mais j’en ai profité quelques-fois aussi. Mais pas autant que ma cousine Marie-Anne ou ma tante Amélie. C’étaient deux jolies petites garces, ces deux-là. Je les ai surprises plusieurs fois, dans les champs et même dans les potagers et les granges.
    
    Mon idée avait fait son chemin. Elle était claire et, le soir-même, dans la chambre que j’occupais quand je venais à la ferme, je me souviens m’être violemment masturbée en imaginant des situations.
    
    Le lendemain, après le déjeuner, à l’heure où tout le monde fait la sieste, j’ai pris mon vélo et suis allée me promener sur les routes au hasard, puis dans les chemins. J’avais dix-sept ans. Les trois verres de vin blanc que j’avais bus à table m’avaient chauffée comme il faut.
    
    Le long d’une rivière que je ne connaissais pas, j’ai posé mon vélo et me suis assise sur un rocher plat au bord de l’eau. J’ai hésité pendant un petit moment, puis je me suis décidée : je me suis mise complètement nue. Je me souviens avoir souhaité très fort qu’un inconnu me suive des yeux en cachette, près de là, mais ça n’a pas été le cas. J’ai trempé mes pieds dans l’eau et me suis aspergée la peau.
    
    En sortant, j’ai regardé autour de moi, mais je n’ai vu personne. Alors je suis revenue m’asseoir sur mon rocher et j’ai ouvert les cuisses pour me masturber en imaginant qui pourrait surgir, ou m’observer en douce dans ces instants depuis un buisson, ou caché derrière un arbre. Je me suis fait jouir deux fois de suite, puis je me suis allongée un peu ...
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