Il n'y a pas forcément que le sexe...
Datte: 08/07/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
fsoumise,
hdomine,
Masturbation
nopéné,
sm,
fouetfesse,
Auteur: Aenean, Source: Revebebe
... explique que ce n’est pas à l’ordre du jour, que je ne mélange pas le privé et le professionnel (hypocrite que je suis, j’en conviens).
— Mais tu vois bien combien je suis excitée ! Tu vois bien combien ma chatte est mouillée !
— Tu n’as pas besoin de moi pour te soulager ! Tu peux très bien le faire toute seule !
— Non, pas ça, j’ai honte…
— Tu as honte depuis quelques temps déjà, et à chaque fois, tu n’en es que plus excitée !
— Non, s’il te plaît, fais-moi l’amour.
Je détache ses faibles liens (arrache est bien plus juste…). Je l’attire sur le canapé, elle s’y allonge sur le dos. Je m’installe confortablement dans le fauteuil, juste en face d’elle.
Elle hésite.
— Tu veux passer la journée comme ça, à poil ?
— J’ai trop honte…
— Masturbe-toi ou rhabille-toi !
Sa main droite glisse sur son sexe, sa main gauche caresse son sein. Elle baisse les yeux, ne pouvant voir l’homme en face d’elle.
— Pourquoi tu baisses les yeux ? Regarde-moi !
— Non, pas ça !
Son regard se redresse, ses mains jouent. Son corps juvénile se cambre, ondule. Ses doigts jouent avec son bouton d’amour, écartent ses lèvres, toutes ses lèvres…
La tension monte. Dans un ultime sursaut, elle laisse exploser son plaisir. Je m’approche, passe délicatement un doigt sur son sexe, récupère sa cyprine. J’aime son odeur, j’aime son goût, je le lui dis.
Elle récupère, la tête emplie de sentiments mélangés, honte, joie, plaisir, désir inassouvi.
Elle se rappelle à moi :
— Je ...
... voudrais te sentir en moi.
— Si je te prends, là, aujourd’hui, c’est ton cul que je veux prendre.
— Non, pas ça, je suis vierge de ce côté-là…
— Si tu restes avec moi, tu ne le seras plus très longtemps.
— Non, j’ai peur.
— Oui, je sais, et tu as honte, mais tu aimes ça.
— Prends ma chatte, je t’en supplie.
— Non, ça suffit maintenant. Il se fait tard, tes parents vont s’inquiéter et je ne veux pas avoir de soucis avec eux. Rhabille-toi. Nous verrons un autre jour.
Elle se lève, reprend ses habits, veut aller s’isoler dans la chambre. Je l’en empêche.
— Tu t’es laissée déshabiller, tu ne vas pas te cacher pour faire le strip-tease à l’envers !
Nous buvons un dernier verre (de jus de fruits), redevenus amis, presque collègues de travail. Je la raccompagne à sa voiture. Nous échangeons un chaste baiser. Nos regards parlent plus que des mots ne sauraient le faire. Nous nous reverrons, c’est sûr, et pas qu’au bureau…
Lundi, de retour au bureau.
Pas facile de voir en Olga une simple collègue, une simple stagiaire…
Je dois partir en déplacement, à l’étranger. Paul, mon chef décide qu’Olga doit aussi voir le travail qu’est le nôtre hors du bureau, hors du siège et qu’elle devrait m’accompagner !
Je n’ai jamais su si la décision de Paul était spontanée ou s’il se doutait de ce qui s’était passé entre nous quelques jours avant…
Nous partons une semaine plus tard, tous les deux. Le trajet en voiture (400km) est assez unique – collègues et amis, amis et amants ...