1. Il n'y a pas forcément que le sexe...


    Datte: 08/07/2021, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, hdomine, Masturbation nopéné, sm, fouetfesse, Auteur: Aenean, Source: Revebebe

    ... vêtement, caressant sa poitrine au passage. Je m’efforce d’enlever cette tache avant qu’elle ne s’incruste, en profitant pour lui jeter un regard que j’essaie de faire le plus sévère possible. Impossible qu’elle garde son vêtement, il est trempé. Je me refuse aussi à lui en donner un second, elle va sûrement lui faire subir le même sort. Comme première punition, je lui demande donc de retirer le polo et de mettre à la place un tablier, du style de ces tabliers qu’ont les jardiniers. Elle rougit, prenant image sur ces fraises, origine de son désarroi. Elle a confiance en moi, veut se retirer dans la chambre pour se changer. Pas le temps, lui dis-je, il faut que nos avancions, notre temps est compté…
    
    Honteuse, elle s’exécute ainsi, devant moi. Je la regarde, heureux de mon effet. Les pointes de ses petits seins dardent, et ce n’est pas la fraîcheur de la pièce (il doit faire 22°) qui en est la cause. Elle reprend son activité première, le torse à moitié nu, en s’appliquant. Toasts suivent fraises, petits fours sont mis au chaud, boissons au frais.
    
    Elle s’habitue à sa tenue et finit presque par ne plus y penser. Je décide de décorer un minimum le salon, la salle à manger. Quelques guirlandes sont à accrocher au lustre. Elle est plus jeune que moi, plus menue, je lui demande donc de monter sur l’escabeau pendant que je lui tends les décorations. J’ai ses fesses sous les yeux. Je me refuse à les toucher… je préfère la rabrouer, lui disant que décidément elle avait ...
    ... encore bien des choses à apprendre… et que nous verrons ça plus tard, quand nous ne serons pas pris par les obligations.
    
    19 heures.
    
    Olga retourne se changer, me revenant belle comme le cœur qui m’est arrivé cinq heures plus tôt.
    
    La soirée se passe, une soirée comme tant d’autres, entre amis des deux sexes. Olga me file un coup de main pour tout gérer. Aux yeux de tous, nous ne sommes plus des étrangers, loin de là. Il ne s’est (encore) rien passé entre nous et je la sens troublée. Tôt le matin (ou tard le soir, rayez la mention inutile), nos amis nous quittent. Je décide de tout laisser en plan, Olga retourne chez elle bien sagement, non sans que je lui aie demandé de revenir dimanche matin, pour m’aider à ranger entre autres… une phrase pleine de sous-entendus qu’elle comprend parfaitement.
    
    Je dors mal, me demandant quelle tournure va prendre la situation le lendemain.
    
    Dimanche matin
    
    Olga arrive, à peine reposée, pas maquillée. Je lui offre un café. Je la fixe, la regarde droit dans les yeux. Je lui demande si elle sait pourquoi : elle sait…
    
    Avant de passer au ménage proprement dit, et pour lui rappeler certains détails pouvant l’empêcher de refaire des bêtises, je l’invite à quitter son pantalon pour se faire pardonner de la tache de fraise. Elle me lance un regard, mi-apeuré, mi-rebelle. Je ne cède pas, trop heureux de ma chance !
    
    Elle se lève et, doucement, avec pudeur mais tellement impudique, me dévoile ses jambes. Ses fesses, son sexe sont encore ...
«1234...»