Le contrat - Histoires de Sexe

Le contrat

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— Non pas vraiment. Je ne suis pas encore au point, mais c’est une activité qui ne me déplaît pas. J’avais bien envisagé de m’y intéresser plus de façon à ce que cela devienne ma source de revenus supplémentaires mais les horaires de travail en massages sont les mêmes que les horaires de cours. Il y a donc une impossibilité. Simplement, il arrive que de temps en temps Anémone ait une demande de massage à quatre mains. Dans le cas où elle peut mettre le rendez-vous après 18 h ou le samedi, elle fait appel à moi pour les deux mains supplémentaires.

Philippe qui est un grand adepte des massages était terriblement intéressé au point que Laetitia en a pris conscience et a continué de parler sur ce sujet.

— La première fois qu’Anémone a fait appel à moi, je n’étais pas encore très au courant des diverses subtilités des massages. Elle m’avait fait des démonstrations sur ma personne mais ne m’avait pas tout dit. Quand je suis arrivée chez elle, dans son salon de massage, elle m’a demandé de me déshabiller, sous-vêtements compris, et de mettre une simple blouse blanche. Peu après le client est arrivé. La cinquantaine, assez bien de sa personne. Pendant qu’il se déshabillait dans l’isoloir nous avons préparé les flacons d’huile, allumé des bâtons d’encens et enclenché un CD de musique relaxante. Une fois le client allongé nu sur le ventre, Anémone me guidait par des signes de la tête et des yeux. Nous massions ensemble tout le corps, soit positionnées l’une à la tête et ...

... l’autre aux pieds, soit chacune de chaque côté de la table. Après le dos, nous avons recommencé sur le torse et les jambes. Je m’efforçai de me concentrer sur mes gestes, essayant de ne pas trop appuyer sans toutefois que le geste devienne une simple caresse. Nous avions parcouru l’ensemble du corps quand Anémone me fit comprendre que je devais encore masser, mais lentement, le haut des cuisses. Je la vis alors quitter sa blouse. J’avoue que je n’avais pas encore vu mon amie nue. J’en restai coite pour deux raisons. Elle a un corps splendide auquel je n’avais pas fait attention jusqu’à ce jour, et de surprise, car je ne savais pas qu’elle allait ainsi se déshabiller. Devant mon air ahuri elle me sourit et me fit signe de continuer.

Notre client avait les yeux fermés et n’a rien vu de nos mimiques. Mais je n’étais pas au bout de mes étonnements. Anémone se saisit du flacon d’huile et en répandit une bonne quantité sur le sexe et les bourses de notre client. Et elle se mit à lui prodiguer de douces caresses. Ses doigts lui caressaient le périnée, le scrotum. De son autre main, elle décalottait et recalottait avec précaution le gland qui semblait dormir mais que ces attouchements réveillaient de sa torpeur. Je pouvais voir la hampe amollie qui lentement s’étirait. De la pulpe d’un doigt imprégné d’huile, elle faisait maintenant le tour du gland qui gonflait. J’avais du mal à me concentrer sur ma propre tâche. Je trouvais magnifique cette verge qui se développait, grossissait sous ...