1. Rencontre


    Datte: 06/07/2021, Catégories: fh, hplusag, inconnu, amour, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, journal, Auteur: Fcomblee, Source: Revebebe

    ... m’annonce que le travail est bien entamé et qu’il est trop tard pour que je puisse bénéficier d’une péridurale.
    
    Les douleurs sont intenses mais par chance, elles ne durent pas trop longtemps. J’ai l’impression que François souffre autant que moi. Il me tient la main, me réconforte et m’encourage. Moins de deux heures plus tard, sous le regard attendri de mon mari, je donne naissance à un petit garçon de trois kilos cinq cents, beau comme un cœur.
    
    Quelques jours plus tard, nous sommes de retour à la maison. J’aspire à reprendre une vie sexuelle normale, ce qui se fait relativement vite. J’allaite mon fils et ça excite terriblement mon mari. Il se lève la nuit en même temps que moi pour le regarder téter et dès qu’il est changé et recouché, il lèche mes bouts de seins et me doigte le vagin. En clair, nous faisons l’amour après chaque tétée nocturne. Heureusement qu’il travaille dans la journée ! L’allaitement protège (en théorie) contre les grossesses, c’est ce qui est écrit dans les livres. Mais pas chez moi !
    
    J’ai repris mon travail depuis un mois et demi, je tire mon lait pour pouvoir continuer à allaiter mon fils le plus longtemps possible et nous avons embauché une nounou (Mathilde) à la maison. Mathilde est une jeune et jolie jeune femme de 23 ans avec une poitrine d’enfer, mariée à un homme de 30 ans qui, je l’ai su un peu plus tard, était alcoolique. Je taquine souvent mon mari :
    
    — Avoue que tu as envie d’elle…
    — Non, chérie, je te le jure.
    — Menteur ! ...
    ... Elle est jolie et elle a une poitrine à faire rêver.
    — Oui mais il lui manque une chose…
    — Ah oui ? Quoi donc ?
    — Ta classe !
    — Excuse-moi, mais pour baiser une femme, tu n’as besoin qu’elle ait de la classe !
    — Si ! Moi, ta classe me fait bander, et je ne suis pas sûr que j’atteigne les mêmes orgasmes avec elle.
    
    Enfin l’essentiel est qu’elle s’occupe de mon fils et de la maison. Tout est parfait. Oui, enfin presque ! Je n’ai toujours pas eu de retour de couches, ce qui me semble normal puisque j’allaite. Je vais à une visite chez mon gynéco qui m’annonce :
    
    — Vous êtes enceinte !
    
    J’ai cru que le ciel me tombait sur la tête. Un bébé de quatre mois à la maison et un autre dans le ventre ! Je suis rentrée tel un zombie.
    
    — Chéri, je suis enceinte d’un mois et demi !
    — Oh ! mon amour, c’est merveilleux ! s’exclame t-il en m’enlaçant.
    — Merveilleux ? Je vais perdre mon travail !
    — Tu n’as pas besoin de travailler. Tu peux arrêter maintenant.
    — Non ! Je n’ai pas fait sept ans d’études pour m’arrêter au bout de deux ans ! Mais ils vont me virer, si je fais des enfants à la fréquence des lapines !
    — S’ils te virent, je t’offrirai un cabinet à toi, mais je suis tellement heureux d’avoir un autre enfant de toi. Je t’aime tellement…
    
    Sans me l’avouer, je suis heureuse aussi. Je démissionne du cabinet pendant ma grossesse.
    
    Le jour où j’ai des contractions, je préviens Mathilde qu’elle devra peut-être rester la nuit à la maison, parce que le travail commence et que ...