1. Une nuit qui a tout changé (1)


    Datte: 06/07/2021, Catégories: Gay Auteur: Thalderhoff, Source: Xstory

    ... tenait et moi) avons plongé dans ce nuage étouffant pour nous joindre, si je peux dire cela, à l’enchevêtrement de corps, de jambes et de bras qui s’ébattaient dans la fumée.
    
    Un instant, j’ai cru reconnaître mon hôtesse dans une tenue nettement simplifiée par rapport à celle qu’elle avait quand je l’ai vue la première fois.
    
    Si c’était bien elle, elle était toujours fort aimable et se montrait très coopérative avec le type qui lui tendait sa bite à sucer.
    
    Une autre femme, moins jeune et surtout moins jolie, accueillait jambes largement ouvertes un gros type bedonnant dont je voyais surtout le cul ainsi que ses couilles qui dansaient entre ses deux jambonneaux. À l’entendre, elle était très satisfaite du traitement vigoureux que lui imposait son partenaire.
    
    C’est quand une main puissante qui ne pouvait appartenir qu’à un homme m’a saisi le paquet que j’ai réalisé que j’étais entièrement nu, comme l’étaient d’ailleurs tous les corps qui s’agitaient devant moi.
    
    Une voix colorée d’un fort accent belge ou néerlandais a gueulé pour se faire entendre :
    
    — On a de la visite, les amis ! Et déjà en tenue !
    
    Au cas où la première annonce de ma visite impromptue n’aurait pas été entendue.
    
    Le type, sans lâcher mes couilles, me retenant juste avec une main sur la poitrine, venait de me hisser à plus d’un mètre du sol sans avoir l’air de faire beaucoup d’efforts pour que tout un chacun et chacune puissent me voir.
    
    Si je n’ai pas souvenir de tout, de ce moment ...
    ... précis, je me souviens très bien !
    
    Ça a été un rush, la curée, la bousculade. Tous ou presque voulaient me voir de plus près, me toucher, me caresser. Il y en a même eu un qui m’a embrassé. Un mec chauve avec une petite barbiche en pointe et des yeux exorbités. Un vrai diable !
    
    Le type qui m’avait pris les couilles me les avait lâchées, mais ce n’était pas pour autant qu’il avait renoncé à me faire connaître ce que j’ignorais jusqu’à cette étrange nuit !
    
    C’était la première fois qu’un homme tenait ma queue et me masturbait. Si j’avais voulu l’en empêcher, j’aurais eu bien du mal entre celui qui continuait à me rouler des patins en tenant ma tête renversée en arrière, ceux qui me pelotaient un peu partout et ceux qui, me portant, me tenaient les jambes et les bras.
    
    J’ai quelques réticences à l’avouer maintenant, mais je crois bien que je n’ai pas lutté ou si peu !
    
    Si j’ai essayé quelque temps de me soustraire aux mille caresses qui couraient sur mon corps nu j’ai curieusement cessé de le faire dès que ce que je suis bien obligé d’appeler le plaisir a fait sournoisement son apparition.
    
    Mon « branleur » était un homme au teint cuivré, mi-asiatique, mi-africain, manifestement d’une force impressionnante, mais d’une douceur infinie.
    
    Savamment manipulé, mon sexe bandait comme jamais.
    
    Certainement satisfait du résultat obtenu, il a changé du tout au tout pour s’occuper à sa façon de mon anus. Il n’était pas le seul d’ailleurs. La salive déposée par je ne sais qui ...
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