1. Une histoire simple, quoique !


    Datte: 04/07/2021, Catégories: fh, ff, hh, hagé, hépilé, vacances, hsoumis, revede, hféminisé, Oral init, Gay vêtements, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... chant des oiseaux. Comme moi, elle aimait ça. Elle aimait tellement qu’elle avait empoigné ses fesses et les ouvrait pour que ma langue aille plus loin.
    
    À force de gesticuler, elle en avait oublié les règles de l’équilibre. Elle glissa, mon nez entra sans frapper dans sa vulve et son cul dénudé fit connaissance brutalement avec la fraîcheur du sol. Je l’aidai à se relever. Il nous fallait trouver une position moins périlleuse. Sans que je lui demande quoique ce soit, elle s’allongea sur le dos, remonta ses cuisses serrées sur sa poitrine. J’avais ainsi un accès privilégié à ses lieux de plaisir. Je décidai d’alterner les attouchements sur son sexe et vers son petit trou. Plus ma langue approchait de son anus, plus sa plainte s’intensifiait. J’osai enfin le titiller. J’écartai bien ses globes et tentai, du bout de la langue, de pénétrer son entrée de service. La réaction fut instantanée. Sa main plongea entre ses cuisses et se branla férocement le clito. En quelques secondes tout fut terminé. Sa plainte s’interrompit brusquement, son corps se cabra brièvement. Elle s’affala sur le plaid.
    
    Je me glissai à ses côtés. Je voulus la prendre dans mes bras. Elle se débattit me tourna franchement le dos. Qu’est-ce qui lui prenait ? Soudain, des reniflements caractéristiques montèrent de sa gorge : elle sanglotait. Le retour à la réalité s’accomplissait dans la douleur. Elle s’était vengée. Mais rendre la pareille à Antoine n’avait pas effacé sa peine, sa douleur. Les pleurs ...
    ... avaient sapé sa résistance. Sans aucun effort, je la fis basculer et l’attirai contre moi. Je la câlinai, baisai son visage, léchai ses larmes et lui murmurai des mots de réconfort.
    
    — Ce n’est rien, ma poulette. Pense que tu as bien joui. Tu lui as bien rendu la monnaie de sa pièce. On s’est bien éclaté puis nos deux mecs qui baisaient c’était plutôt cool.
    
    Ses larmes s’étaient taries, mais je continuais à lui prodiguer moult caresses d’apaisement. Elle respirait plus calmement, son corps s’alanguissait, ses mains m’enlaçaient. Je continuais de broder sur les mêmes thèmes quand, tout à coup, elle éclata de rire.
    
    — Tu n’y es pas du tout Nadine ! T’as tout faux !
    
    Je me reculai, éberluée. Elle passa tendrement la main sur ma joue, remontant ensuite dans ma chevelure.
    
    — Les voir baiser, c’était génial ! Voir mon macho de mari sucer Luis, c’était divin. Si tu savais ce que j’en ai marre d’Antoine, sa grosse queue et ses manières de macho.
    — Alors pourquoi ces pleurs ?
    — Parce que…, balbutia-t-elle.
    
    Elle avait retrouvé tout son sérieux. Les mots avaient du mal à sortir.
    
    — Parce qu’il y a longtemps que… enfin tu m’attires beaucoup et j’aurais pas voulu que ça se passe de cette manière. J’aurais voulu qu’on se découvre, qu’on…
    — Ben on aura tout le temps et en plus on tient nos maris par le bout de la queue
    — Tu as raison. Et on sera en retard pour le repas !
    — On leur ramènera des pizzas !
    
    Ses lèvres vinrent chercher les miennes et nous partîmes à la ...