1. Une histoire simple, quoique !


    Datte: 04/07/2021, Catégories: fh, ff, hh, hagé, hépilé, vacances, hsoumis, revede, hféminisé, Oral init, Gay vêtements, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... la montagne.
    
    — C’est quoi l’histoire ?
    — Y’ pas de raisons qu’ils soient les seuls à prendre leurs pieds !
    
    Elle tourna dans un chemin forestier. Je compris où elle nous emmenait : la petite clairière que nous avions traversée quelques jours auparavant. J’étais pas sûre de comprendre les intentions de mon amie. Et si je les avais bien comprises, je n’étais pas sûre d’être partante. Je n’avais jamais été attirée par les filles. D’un autre côté, ce pouvait être une vengeance pas du tout désagréable et la séance que je venais devoir m’avait bien excitée. Alors !
    
    La voie carrossable se terminait après un virage serré pour se transformer en sentier étroit. Denise stoppa la voiture, récupéra un plaid à l’arrière et s’engagea entre les arbres. Elle se retourna. Me voyant encore figée sur mon siège, elle m’apostropha :
    
    — Allez viens ! C’est notre tour.
    
    Mon bas-ventre me murmura : « vas-y ». Quelques centaines de mètres plus loin, bien dissimulée se trouvait une petite aire dégagée propice aux étreintes cachées. Antoine avait déliré sur la végétation piétinée disant que « ça avait dû baiser grave pour piler l’herbe comme ça ». Quand j’arrivais, elle avait déjà étendu la couverture, ôté sa culotte et enroulé sa jupe comme Luis. Sa chatte luisant de cyprine était surmontée d’une toison se limitant à un trait de poils bruns bien taillés. J’éclatai de rire.
    
    — Tu me trouves ridicule, c’est ça ?
    — Non pas du tout !
    
    Pour le lui prouver, je m’approchai, et posai un doigt ...
    ... sur son restant de pilosité.
    
    — Je parie que c’est Antoine qui t’as demandé de tailler ton minou.
    — Luis t’a demandé la même chose ?
    — Gagné !
    
    Je levai ma robe, baissai mon string et lui montrai ma flèche dorée.
    
    — Huuum ! Tu as une jolie petite mangue bien juteuse. Toi aussi ça t ‘a excitée, j’ai bien vu.
    
    Elle plaça ses mains sur mes épaules. D’une douce pression, elle me fit comprendre que je devais m’agenouiller. On savait faire ça dans la famille. Plutôt que de me taler les genoux, je m’accroupis sur mes talons. Sa main droite s’était déplacée derrière ma nuque et poussa ma tête ver sa féminité.
    
    — Viens, Nadine ! J’en peux plus ! Fais comme ton petit mari ! Lèche-moi.
    
    Je résistai quelques secondes, mais la curiosité sinon l’envie l’emporta. Je joue un peu les hypocrites, j’étais excitée et tout aurait été bon pour satisfaire cette excitation. J’appliquai mes mains sur la face intérieure de ses cuisses et l’obligeai à s’ouvrir. J’avançai suffisamment ma tête, je la penchai en arrière pour qu’elle se retrouve à l’aplomb de son sexe. Position inconfortable, mais stratégique. Je promenai d’abord le bout de ma langue tout du long de sa fente. Démarrant au contact de son clito, elle atteignait en bout de course son entrefesses. Elle se montrait inquisitrice aux points de départ et d’arrivée. Sans surprise, chaque fois que ma langue flirtait avec son bouton, elle sursautait. Par contre lorsqu’elle insistait sur le périnée, une légère plainte venait troubler le ...
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