Etre une ponygirl
Datte: 04/07/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Inceste / Tabou
Hardcore,
Auteur: michelemimi, Source: xHamster
... ponygirls est sans doute Gwendoline. D’abord héroïne de la bande dessinée de John Willie, père spirituel du bondage dans les années 50, la jolie blonde surgit sur les écrans de cinéma en 1984, grâce à une adaptation de Just Jaeckin, réalisateur d’Emmanuelle. C’est en faisant des recherches pour son film qu’il découvre des planches de dessin représentant une course de chars humains que Jaeckin a l’idée de mettre en scène des pony girls dans le royaume souterrain de Yik-Yak, une cité féminine interdite dirigée par une reine (B. Lafont). « Ce char tiré par trois filles nues menait subitement vers le fantastique. C’est ce climat qui m’a fait accepter de tourner Gwendoline » raconte Jaeckin. La scène de la course menée par des amazones emplumées donne une bonne idée du matériel et des costumes indispensables aux attelages humains.
Être ou avoir une ponygirl nécessite de fait certains investissements. t: « On côtoie l'aristocratie du SM et même l'aristocratie tout court. L’harnachement, est le moment que je préfère. Le déclenchement du fantasme, le début de l’évasion.
L’équipement de base comprend, des pieds à la tête :
- Des botte équipées de sabots.
- Une selle ou un corset agrémenté de sangles qui auront soin d’encercler seins, fesses et pubis de manière aussi suggestive que contraignante. Mais la selle ne sert pas toujours, car on ne monte que rarement une ponygirl.
- Une queue de cheval, forcément. On choisira soit un modèle de plug anal terminé par une longue ...
... crinière, soit une postiche que l’on fixe au corset.
- Enfin, le harnais de tête auquel se fixe le mords, qui vient se loger entre les dents, permettant de guider la ponygirl et interdisant physiquement la parole. Un seul mot prononcé constitue une faute grave. L’autre intérêt du mors est de faire abondamment saliver, humiliation particulièrement appréciée des soumises et des maîtres.
Enfin, la ponygirl est prête.
Ne peuvent se réclamer de la vraie famille des ponygirls, les femelles en en appartement. C’est à l’air libre, frissonnant et suant à ciel ouvert, que l’on atteint le sommet de cet art, où la domination se mêle à l’exhibition.
Hormis le harnais, le corps de la ponygirl est toujours nu, offert à la vue et à la main qui récompense ou punit. Assis dans le sulky, le maître quant à lui est un voyeur actif, fier de son équidé et du joug qu’il exerce. Son autorité est indiscutable, alors parfois le fouet claque et mord la chair de l’indocile.
J'avoue parfois faire la rebelle exprès, pour être punie mais aussi pour inverser le pouvoir. En Angleterre dans les clubs, on laisse en général ce genre d'opération à la discrétion de quelques grooms et palefreniers, souvent passionnés, qui traitent la ponygirl comme ils auraient traité une jument au paddock avant de la monter.
La relation entre la jument et son maître est basée sur la confiance. Entravée et réduite au silence, la femelle doit se sentir en sécurité pour obéir sereinement. Obéir c’est à dire ramper à ...