1. Une collègue


    Datte: 03/07/2021, Catégories: Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme odeurs, Masturbation Oral nopéné, Auteur: Eugène, Source: Revebebe

    ... les plia au niveau des genoux. Comme ça, sa chatte était bien exposée et totalement offerte. Elle dit alors d’une voix tremblante :
    
    — Approche toi… Si tu veux…
    
    Bien sûr, que je le voulais ! Je m’approchai donc d’elle et j’admirai cette pure beauté de très près. Sa chatte était parfaite ! Un petit grain de beauté était situé près de sa grande lèvre droite, rendant sa fente encore plus séduisante. Une petite goutte de son jus perlait tout en bas de sa fente. J’articulai avec difficulté :
    
    — Mais c’est… Toi… Tu coules…
    — Oui, je le sens, répondit-elle en souriant. Bien sûr. Et je coule pour toi…
    
    Elle ramassa cette goutte avec son index et commença à masser son clito avec le doigt ainsi lubrifié. Ça dura une dizaine de secondes, puis elle s’arrêta, n’ayant visiblement pas envie de jouir si rapidement. Elle me regarda droit dans les yeux et avec ses deux index elle tira fortement le capuchon de son clito, en le sortant complètement. Il était cramoisi, j’avais l’impression qu’il palpitait. Elle murmura :
    
    — Regarde-le bien, c’est pour toi qu’il est sorti…
    
    Je m’approchai encore plus près de sa chatte. Je voyais très nettement les plis du capuchon de son clitoris. Soudain, ne pouvant plus me retenir, je sortis ma langue et j’effleurai son petit bouton. Son corps entier trembla. Elle tint bien son clito dégagé :
    
    — Oui, s’il te plait, lèche-le… Lèche-moi, mon chaton, il est mouillé pour ta langue.
    
    Je ne me fis pas prier et commençai à lui lécher avidement la ...
    ... fente. Elle ferma les yeux, et je me sentis plus libre. Je suçai son petit clito, je fis des cercles avec ma langue autour de lui, le tout en humant l’odeur de son doux nectar. Je plaquai mon visage contre sa fente mouillée. J’aurais pu la lécher pendant des heures. Je voulus voir l’effet que ma langue lui procurait et retirai mon visage de sa chatte. Avec mes deux pouces, tout doucement, j’écartai les lèvres de sa chatte. La chatte, dont je rêvais depuis longtemps, était là, ouverte juste devant mon nez. Elle dit :
    
    — Ouvre-la encore plus, n’aie pas peur. Je veux que tu la voies. Je le veux depuis longtemps. Tu ne peux pas imaginer à quel point j’avais envie de te montrer ma chatte. Rien que d’y penser ça me faisait mouiller. Alors, je t’en prie, ouvre-la et regarde-la autant que tu veux.
    
    Difficile de résister à un tel aveu. J’ouvris donc sa chatte encore plus grand, et l’écartai pour admirer toute sa beauté féminine. Son vagin était complètement inondé de cyprine, un vrai fleuve. En un instant, je ramassai toute sa liqueur avec ma bouche, en faisant le bruit de succion. Elle m’aida à en obtenir davantage en contractant son vagin… encore plus de jus s’en écoulait. Puis je rentrai deux doigts dans son vagin en le distendant légèrement pour voir son tunnel d’amour. J’en admirai les parois et son entrée ourlée… Cette vision couplée à la contemplation de son clito faisait que le tableau était merveilleux. Elle commença à masser à nouveau son petit bouton tout rouge. Ses ...