1. Une collègue


    Datte: 03/07/2021, Catégories: Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme odeurs, Masturbation Oral nopéné, Auteur: Eugène, Source: Revebebe

    ... Bon, ok, dit-elle, un peu déçue. Mais… J’ai décidé que c’est toi, qui a écrit ça.
    — Ah… Et je pense à juste titre que l’auteur mérite une bonne gifle, non ?
    — Tu sais, ça dépend de l’auteur…
    
    Je remarquai soudain des étincelles dans ses yeux et je décidai de me jeter à l’eau.
    
    — Et si c’est moi ? J’en mérite une ?
    
    Elle recommença à rire.
    
    — Ah, non ! Pas toi, non… On est bons amis. Dis, tu trouves vraiment qu’il est beau ?
    
    En voilà une question difficile et une situation un peu bête… Je commençais à le comprendre.
    
    — Franchement ??.. Oui ! Il est très sexy. Comme toi, d’ailleurs…
    
    Soudain son téléphone professionnel se mit à sonner. D’un côté j’étais content de cette petite pause improvisée, car ma tête commençait à bouillir, mais de l’autre, j’étais quelque peu déçu de voir notre conversation ainsi interrompue. Sans se lever de sa chaise elle se tendit vers son bureau et décrocha. Je n’entendis pas de quoi elle parlait, tant j’étais tout entier immergé dans mes pensées. Elle écarta un peu sa jambe droite pour accéder au téléphone, sa jupe courte se tendit. À cet instant, j’eus une envie très forte de regarder dessous. C’est comme si des marteaux résonnaient dans ma tête. Elle parlait et souriait. Sa jupe était bien tendue. Sa jambe si belle était découverte très haut. Je détournai le regard de son entrejambes (j’ai dû en chasser mes yeux…). Elle prenait des notes. Sa jambe bougeait un peu. Sa voix… Son string blanc… Ses yeux brillants… Sa jupe… Les ...
    ... marteaux… Je voyais mal… Sa jupe… Sa chatte…
    
    Je me sentis au bord de l’évanouissement. Sa chatte… Elle a enlevé son string, voilà la raison, l’explication du pourquoi je ne l’ai pas vu quinze minutes avant. Elle continuait à parler tout en me regardant. Elle capta mon regard qui était plongé entre ses belles jambes. Sans cesser de parler elle écarta aussi sa jambe gauche, sa main gauche relevant sa jupe pour faciliter cette manœuvre. Je n’en croyais pas mes yeux. D’un autre côté, si elle avait décidé de me montrer son intimité, pourquoi ne pas en profiter ? Je rejetai alors toute gêne et je commençai à contempler cette belle chatte. Elle raccrocha et me dit, la voix tremblante :
    
    — Maintenant tu vas voir ce que tu mérites… Ferme la porte, s’il te plait.
    
    J’obtempérai docilement et je partis les jambes coupées vers la porte pour la fermer. Quand je revins, sa jupe était déjà autour de sa taille (elle est rapide, pensai-je), ses cuisses étaient écartées au maximum et sa chatte était impudiquement exposée. Elle me demanda :
    
    — C’est mieux sans le string, non ?
    
    Une lueur folle illumina soudain ses yeux.
    
    — J’ai peine à croire à tout ça… Elle est merveilleuse, je reste sans voix, chuchotai-je.
    
    Sa chatte était vraiment très belle. De petits poils commençaient à pousser. Apparemment, elle s’était rasée récemment. Ses grandes lèvres, minces, elles s’ouvraient désormais, en faisant apparaître les petites lèvres qui s’écartaient elles aussi. Elle leva ses jambes en l’air et ...