1. Quand le réel nourrit le fanstame


    Datte: 17/05/2018, Catégories: fh, campagne, train, cérébral, Oral Auteur: Morgane82, Source: Revebebe

    ... érection me rassure et m’enhardit. On ne serait pas dans le train, je le prendrais en bouche, là de suite, il me suffirait de baisser à peine un peu la tête pour le faire glisser entre mes lèvres. Mais la bienséance ne le permet pas… Dommage… Je glisse mes doigts sous son caleçon… Il retient sa respiration… Je frôle sa hampe déjà bien dure et l’encercle de mes doigts, je le branle doucement, et l’entends reprendre une respiration presque normale…
    
    Je suis à demi penchée sur lui comme si je dormais sur son épaule mon bras encerclant son buste, position idéale pour ce que je suis en train de lui faire. Je ferme les yeux, et cale mes caresses au rythme de sa respiration. Je ne veux pas le faire jouir ici, juste maintenir son état d’excitation juste avant le point de non-retour. Sa main droite caresse mes cheveux, et il a posé l’autre dans le bas de mon dos et y dessine des arabesques. Ce simple contact m’électrise… Je sens sa main quitter mes cheveux et un doigt descendre le long de ma joue, il caresse mes lèvres et s’y fraye un passage. Je ne peux pas retenir mon envie de le sucer, et comme s’il m’avait offert sa queue, je commence à faire coulisser son doigt entre mes lèvres, je me fous des bruits de succion que peux faire ma bouche, je suis toute entière à ce que je lui procure.
    
    Mais il va falloir que je calme le jeu, car il pourrait devenir dangereux surtout pour son caleçon car je n’ai pas arrêté de le caresser même si ma bouche était occupée ailleurs…
    
    Le train ...
    ... ralentit, on arrive… merde, j’abandonne son doigt à regret, et me dégage lentement de son étreinte, en me repositionnant à ma place je lui glisse :
    
    — J’en veux plus. Ne te sauve pas trop vite ce soir, s’il te plait…
    
    Pour toute réponse, il me sourit, se rajuste, se lève et me passe devant. Je me retrouve avec son érection devant le nez… Hummm pourquoi sommes-nous encore dans le train… Je me lève à mon tour et il me laisse passer devant. Ça bouchonne devant, nous ne sommes pas encore à quai. Je le sens derrière moi et il ne faut pas grand-chose pour que nos corps se frôlent, les mouvements du train laissant planer le doute sur les intentions… Moi je n’ai pas besoin du train pour avoir envie de me frotter à lui…
    
    On descend du train, la journée est terminée enfin, sera-t-il aussi pressé de rentrer que d’habitude ? Je le suis jusqu’à sa voiture et allume une cigarette. Il monte déjà dans sa voiture… c’est mort je vais pouvoir me diriger vers ma voiture. Il démarre, je lui dis bonne soirée et pars vers ma voiture, un peu dépitée malgré tout…
    
    Je me dirige vers ma voiture lorsque depuis sa vitre, je l’entends me dire :
    
    — Monte… Tu as un truc à terminer.
    
    Je ne peux m’empêcher de sourire et de rougir, je contourne sa voiture et monte côté passager. Je ne sais pas où il compte aller mais je suppose que ce ne doit pas être bien loin et tranquille. Je ne dis rien, je sens le stress monter en moi… je ne vais quand même pas abandonner si près du but…
    
    Il arrête la voiture ...
«12...4567»