1. Quand le réel nourrit le fanstame


    Datte: 17/05/2018, Catégories: fh, campagne, train, cérébral, Oral Auteur: Morgane82, Source: Revebebe

    ... passent par la tête quand je commence à penser à lui. Seulement il n’y a pas que ça qui s’insinue dans mon esprit quand je pense à lui…
    
    Il me hante toute la journée, il n’y a pas cinq minutes où je ne pense pas à lui, à son odeur, à tout ce que j’aimerais faire avec lui… J’ai fini par comprendre ce qui m’attire autant chez lui, son côté brut, son côté mâle, son côté « dominant » que je soupçonne, mais aussi son côté écorché vif en manque d’amour, caché sous sa carapace… Et pour tout ça, je le veux.
    
    Je ne sais pas ce qu’il aime, ni ce qu’il veut de moi (s’il veut quelque chose…) mais j’aimerais réussir à fendiller la carapace, le voir tel qu’il est vraiment. Qu’il s’ouvre à moi… J’en demande beaucoup, je pense, mais le temps me dira si j’avais raison ou non. Un jour il m’a dit que c’était parce que je ne l’avais pas encore qu’il me hantait mais qu’une fois que je l’aurai, je me lasserai… A-t-il raison ? Je n’arrive pas à répondre à cette question.
    
    Je suis pleine de doute et de questions sans réponses… Ça me perturbe un peu. Je ferme les yeux un instant et je ressens ses lèvres sur les miennes, souvenir fugace de ce matin. Mon esprit divague, je sens ses mains se poser sur moi, une sur ma hanche, l’autre dans le bas des reins, il me serre contre lui. Ses lèvres quittent ma bouche, il m’embrasse le cou, le mordille en resserrant son étreinte, je ne suis qu’une poupée de chiffon entre ses mains. Sa morsure se fait plus vive, je ne peux m’empêcher de sursauter et de ...
    ... gémir tout en lui offrant encore mieux mon cou. Son étreinte est plus rude, il me colle à lui et je sens son désir pointer, je me frotte comme une chatte en chaleur pour mieux le sentir. Sa main droite remonte sous mon tee-shirt et d’un mouvement rapide, il me pince un sein, je ne peux retenir un cri de surprise. Je le regarde, il a ce regard plein d’envie et de pouvoir. Je lui murmure « encore »… il recommence mais cette fois-ci je ne crie pas, je soupire… Je veux qu’il me possède, je ne veux n’être qu’un jouet entre ses mains, qu’il me fasse du mal pour nous faire du bien…
    
    Brutalement, il reprend mes lèvres, il est comme assoiffé, il m’étouffe, je le repousse pour reprendre une bouffée d’air, son regard est noir, je n’aurai pas dû faire ça…
    
    Il se recule, dégrafe sa ceinture puis son pantalon qu’il laisse tomber à ses chevilles et d’un appui sur mes épaules, m’ordonne de m’agenouiller, je ne résiste pas et tombe à genoux devant lui. La bosse qui se dissimule sous son caleçon ne me laisse pas vraiment de doute sur ce qu’il veut que je fasse. J’approche mon visage, je le respire, le caresse du bout du nez. Il m’attrape violemment par les cheveux et écrase son sexe contre mon visage. Il se frotte à moi comme une bête, il ne tiendra pas longtemps. Rapidement, je fais tomber son caleçon, et lorsque je prends son sexe en main, je l’entends grogner. Je le branle un peu et darde la langue pour venir titiller son gland. Je le prends dans ma bouche et tout en malaxant ses couilles, ...
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