1. Police polissonne (14)


    Datte: 17/05/2018, Catégories: Divers, Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... des amis. Puis elle lui propose de l’aider à prendre sa douche et d’enlever ses pansements ; un bon moyen pour se faire des câlins avant le départ. Elles se massent mutuellement les seins, s’étirent les tétons, s’embrassent à grands coups de langue. À genoux aux pieds de Sophie, Sonia lui suce la chatte et va chercher les anneaux accrochés aux lèvres de l’infirmière qui après avoir eu un orgasme, doigte la jeune fliquette avec une telle frénésie, que notre convalescente atteint une telle jouissance qui la laisse un instant comme momifiée contre la paroi de la cabine de douche.
    
    Elle s’habille de son jeans, d’un tee-shirt, de ses uniques baskets, et rien d’autre. Sophie lui fait la remarque :
    
    — Tu ne mets pas de culotte ni de soutif ?
    
    — Jamais ! j’ai horreur de ça ; moi c’est toujours à poil dessous mes fringues. Tu n’as jamais essayé ?
    
    — Pas à l’extérieur, c’est trop risqué ; tu imagines s’il m’arrivait un truc, un coup de vent sous ma jupe ou pire encore...
    
    — Tu ne mets que des jupes ?
    
    — Oui, ou des robes ; je ne veux pas ressembler à un mec. Même si par nécessité, je me fais sauter de temps en temps.
    
    — T’es trop cool, j’adore.
    
    Marc entre dans la chambre.
    
    — Te voilà fin prête, tu es magnifique, dit-il.
    
    — J’ai juste la sensation de retourner à la case départ...
    
    — C’est un peu le but, mais tu verras cela demain. Dans ce cas et si tout est réglé, je te conduis à l’aéroport.
    
    Les deux femmes se congratulent en se promettant de s’appeler et de ...
    ... se revoir. Marc propose de faire le relais si besoin était, car pendant toute sa formation elle ne disposera d’aucun moyen de communication personnel. Ils quittent l’hôpital et se dirigent vers la voiture de police que Sonia connaît déjà. Marc démarre et prend la direction de l’aéroport de Marignane, mais il passe devant sans s’y arrêter ; Sonia s’interroge :
    
    — On ne va pas à l’aéroport ?
    
    — Non, nous allons à Salon de Provence.
    
    — Mais c’est une base de l’armée de l’air, explique-moi s’il te plaît.
    
    — D’accord mais avant je voudrais que tu m’en dises un peu plus sur ton entrevue d’avec le président, car je trouve très bizarre qu’il s’intéresse tant à toi. Il t’a offert des bijoux, s’informe sur ton état de santé, car il a vu ta prestation à la télé, et maintenant ordonne de te faire transporter par avion. Je comprends qu’il ne veuille pas prendre de risque te concernant, mais je trouve que cela fait beaucoup de marques d’intérêts par rapport au simple entretien que tu as eu avec lui. Alors, tu m’expliques.
    
    — J’ai promis de ne rien dire, alors je ne dis rien...
    
    — Sauf que maintenant c’est moi le patron et je t’ordonne de me raconter ce qui s’est passé.
    
    — Bon d’accord, mais tu gardes ça pour toi.
    
    — Évidemment, mais je me doute déjà de ce que tu vas me dire.
    
    — Bon, OK... Il m’a simplement demandé comment je m’y prendrai avec les délinquants, pour obtenir des informations, car il m’a dit que physiquement je n’étais pas vraiment bâtie pour un interrogatoire ...
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