1. This is the end


    Datte: 29/06/2021, Catégories: fh, handicap, humilié(e), vengeance, chantage, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral policier, fantastiqu, Auteur: Rain, Source: Revebebe

    ... regards incessants. Elle revient avec le numéro de celui qui va casquer et nous retournons dans le champ que nous avons quitté une heure plus tôt.
    
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    Nous reprenons le plan étape par étape. Une fois que la confiance a l’air de transpirer par tous les pores de sa peau, Kim compose le numéro :
    
    — Allo, Madame, je me présente, je m’appelle Sandra et je lutte, comme votre mari, pour un monde meilleur et j’aurais aimé lui parler.
    — Bonjour, répond la dame à l’autre bout du fil. Vous êtes Sandra qui ? Je n’ai pas entendu votre nom de famille.
    — Je suis désolée, mais je préfère garder l’anonymat pour… des raisons de sécurité. Les informations que je possède et que je souhaite partager avec votre époux doivent rester confidentielles. Peut-être que je vous en ai déjà trop dit. Je ferais mieux de raccrocher…
    
    Un instant, je crains que Kim en ait trop fait, son interlocutrice gardant le silence. Mais celle-ci reprend :
    
    — Rappelez ce soir, mon mari n’est pas encore rentré. Je lui dirai que vous avez appelé.
    — Merci beaucoup, Madame, vous n’imaginez pas l’importance de ce que j’ai à lui dire. Cela risque d’avoir des conséquences importantes. Bonne journée.
    
    Kim raccroche avant que l’autre ait le temps de parler, un sourire illuminant son visage. Elle peut être fière d’elle ! Il va rappliquer illico presto ! Dès ce soir ! j’en suis persuadé comme deux et deux font quatre.
    
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    Le soir, c’est lui qui rappelle, sa femme a probablement dû conserver le numéro de mon ...
    ... portable. Je décroche, essaie tant bien que mal de masquer ma surprise et passe le téléphone à Kim qui lui fixe rendez-vous dans le champ où nous avons garé la tire et où nous avons passé l’après-midi à chercher des moyens de pression susceptibles de le faire rapidement cracher au bassinet.
    
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    Une demi-heure plus tard, il se pointe dans une bétaillère, seul derrière le volant. Émile et moi sommes cachés derrière un rocher et observons la rencontre.
    
    Ce moustachu, héros local, descend de son G8 et salue de la main notre Kim qui lui rend son bonjour. Elle a revêtu un jean, une paire de baskets blanche et une chemise en lin dont les boutons déboutonnés du haut laissent entrevoir sa poitrine à peine dissimulée par un soutif à moitié transparent. Lorsqu’il se retrouve proche d’elle, Émile et moi constatons qu’il reluque ses seins (ce qui était plus ou moins mon plan) et je dois poser ma main sur l’avant-bras de mon pote pour l’empêcher de se lever et de foncer sur le bonhomme pour lui massacrer la tronche.
    
    Ils discutent quelques minutes et après une cordiale poignée de main, notre futur otage retourne vers son fourgon. Peu de temps avant qu’il ouvre la portière, je me dresse et le menace de mon fusil en lui ordonnant de lever les mains en l’air. Je suis à plus de vingt mètres et je doute sérieusement de mes capacités à l’atteindre s’il tentait de grimper dans son G8 pour prendre la fuite.
    
    Il s’exécute et je m’approche de lui en le braquant, talonné par Émile. Il se ...
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