Pèlerinage d'un lieu saint
Datte: 29/06/2021,
Catégories:
fh,
amour,
cérébral,
Oral
préservati,
pénétratio,
Auteur: Lilas, Source: Revebebe
... nus. Je frissonne. Je sens les pointes de ma poitrine durcir immédiatement au contact de ses doigts experts. Sa bouche prend le relais, sa langue humide enveloppe un de mes tétons, le mordille et le suce avec application. Je n’y tiens plus et pousse un gémissement impatient. Dans mon pantalon, sa main s’est faite plus active, et mon clitoris est devenu humide et brûlant.
— S’il te plaît… Je t’en prie…
Je l’implore sans vraiment savoir pourquoi. Il lève les yeux et nos regards se croisent. Il sourit et je trouve ce sourire un brin sadique… Sans me quitter des yeux, il recommence à lécher mon sein droit, tout doucement, puis laissant une trace humide sur ma poitrine, il passe au sein gauche. Je repose la tête contre le matelas, effrayée par l’ampleur du trouble qu’il fait naître en moi.
Ses doigts glissent de bas en haut contre mon clitoris mouillé, me masturbant très lentement, savamment. Puis ils tournent sur l’excroissance gonflée de sang, et s’introduisent à nouveau dans ma fente, qui s’ouvre à eux avec un bruit de succion.
— Ooooh… murmuré-je dans un gémissement qui ressemble plus à un râle.
Il ne dit rien, mais je sens son désir croître d’un cran, tandis qu’il se redresse au-dessus de moi, et saisit à deux mains les pans de mon jean, avant de le baisser brutalement le long de mes jambes. Je l’aide avec maladresse. Puis il fait glisser par le même chemin ma culotte en dentelle rouge, avant de s’attaquer à mon tee-shirt, qu’il lance par-dessus ma tête. Je ...
... pousse un halètement presque primitif. Le soutien-gorge est vite expédié au fond de la pièce.
— Viens… balbutié-je. Viens… viens…
Il étouffe un rire contre ma bouche qu’il a reprise avec possession. À nouveau, ses mains chatouillent mon ventre, mon nombril, trouvent la route qui mène à mon vagin. Bientôt, il abandonne mes lèvres pour remplacer ses mains au centre de mon corps. La torture de sa langue qui agite la moiteur de ma fente est en fait un délice voluptueux. Je respire fort. J’écarte les jambes à me les briser.
Ses mains, contre la peau de mes cuisses, s’enfoncent violemment dans mes chairs. Mais je ne sens pas cette pression. Je redresse la tête pour le regarder. Son visage est enfoui entre mes cuisses, mais derrière ses verres épais, je vois ses yeux qui me fixent avec une telle intensité que j’ai l’impression qu’il va me dévorer toute crue. Et c’est ce qu’il fait. Sa langue s’insinue plus loin en moi, me procure mille sensations de feu dans le bas-ventre. Je me tortille, la bouche entrouverte. Personne ne m’a jamais fait ce qu’il est en train de me faire.
— Oui…
Longuement, il aspire le liquide du plaisir qui suinte de mes entrailles. Au moment où, hors de moi, les nerfs à vif, j’ai envie de lui crier que je n’en peux plus, il éloigne sa bouche et me regarde jusqu’au fond des yeux. Je trouve particulièrement gênant sa façon de me regarder sans cesse, comme s’il épiait le moindre de mes signes révélant mon plaisir. Je ferme alors les paupières. Il se ...