Ma chère belle-soeur
Datte: 25/06/2021,
Catégories:
ff,
fbi,
vacances,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
initff,
Masturbation
Auteur: Misti Gris, Source: Revebebe
... lèvres s’ouvrir et sentir sa langue contre la mienne !
Elle a cessé de m’embrasser et a commencé à me sucer les seins puis le ventre. Je ne bougeais plus, j’étais dans un autre monde, puis j’ai senti ses baisers sur mon ventre et… Allait-elle le faire ? Oui, j’ai senti ses cheveux contre mes cuisses, et oui, très vite, sa bouche contre mon sexe, sa langue qui parcourait son intégralité. J’écartai un peu plus les cuisses : quel plaisir doux et chaud, j’étais de plus en plus humide et sa langue glissait le long de mes lèvres. Je fus surprise quand Nelly me dit :
— Tu veux faire pareil ?
Et sans réfléchir car j’en avais envie, je lui répondis :
— Oui !
Elle s’était levée puis retournée, j’avais devant moi son bassin et son sexe, de belles lèvres brunes avec une petite toison. Jamais je n’aurais pu penser un jour me retrouver dans cette situation. La vue de ce sexe, auquel je rêvais depuis quelques jours, me fit fondre. J’approchai mes lèvres doucement, j’en éprouvai une énorme excitation, et léchai son sexe. Puis délicatement, avec ma langue, j’écartai ses grosses lèvres et je ressentis le goût de son sexe, un goût un peu âpre, mais doux. J’aspirai ses lèvres dans ma bouche, mais le paradoxe, c’est que pendant que je prenais du plaisir à la lécher, je n’appréciai pas que Nelly me lèche en même temps. Je le lui dis :
— Nelly, je préfère le faire chacune à son tour.
Je m’allongeai sur le lit et elle vint continuer à me lécher. J’écartai de plus en plus les ...
... cuisses pour lui donner entièrement mon sexe, ce qu’elle fit complètement. Elle remonta et m’embrassa pleine bouche et je sentis le goût de mon sexe. Nous avons continué à nous caresser, puis nous nous sommes aperçues qu’il était temps de réveiller les enfants. Nous les avons réveillés et sommes tous partis à la plage.
La suite de nos vacances fut féérique. Nous passions, Nelly et moi un après-midi sur deux dans sa chambre ou dans la mienne, les plaisirs partagés furent nombreux. Je prenais de plus en plus de sensations, tant en la caressant qu’en me faisant caresser. Nous nous ingéniions chacune à faire plaisir à l’autre. Jamais je n’aurais pensé, déjà, avoir une aventure avec une femme, mais de plus, y prendre autant d’émotion, d’étonnement, de sensibilité et de sensations.
Nous avons quitté St-Jean-de-Luz et avons réintégré nos cercles familiaux. Les jours suivants passèrent très rapidement, j’en oubliais Nelly, entre lavage, repassage et reprise de mon activité. C’est Nelly qui me remit dans la vie actuelle en me téléphonant.
— Patricia, c’est Nelly, comment vas-tu ?
— Bien et toi ?
— Tu sais que tu me manques, es-tu libre demain après-midi ?
— Non hélas, j’ai une réunion de rentrée, mais après-demain Gilles part à Toulouse, je suis seule avec les enfants.
— Hum super ! Tu viens chez moi ou je viens chez toi ?
— Viens plutôt chez moi.
— J’ai envie de toi, Patricia.
— Moi aussi.
En fonction de nos emplois du temps, nous nous rencontrions le plus souvent ...