1. Ma chère belle-soeur


    Datte: 25/06/2021, Catégories: ff, fbi, vacances, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral initff, Masturbation Auteur: Misti Gris, Source: Revebebe

    ... juste avant de m’endormir, je me trouvais presque convaincue que j’aurais aimé, moi aussi, la caresser.
    
    Le lendemain matin au petit déjeuner, je retrouvai la smala et découvris que Nelly était assez fermée et presque revêche. J’essayais de lui sourire, mais elle tournait ostensiblement la tête. Après le repas, comme c’étaient nos maris qui gardaient les enfants pour la sieste, Nelly et moi sommes allées à la plage. Allongée sur sa serviette, je regardais Nelly avec d’autres yeux : elle était vraiment jolie, un très beau corps et une poitrine bien galbée. Jamais je ne l’avais regardée avec de tels yeux, je m’en étonnais moi-même. Nelly me tendit son téléphone et me dit :
    
    — Regarde la photo de Nicole, ma voisine, elle a 23 ans.
    
    Je découvris une jeune femme très jolie avec de grands yeux. Puis elle enchaîna :
    
    — Je ne te la présenterai pas car tu flasherais vraiment sur elle.
    
    Le fait est qu’elle me plaisait bien. Ce qui me fit regarder les autres femmes autour de nous et je fus surprise de prendre un certain plaisir en contemplant leurs corps, en évaluant leurs poitrines. Nelly, elle, restait assez distante.
    
    Fin d’après-midi et repas du soir, Nelly encore en face de moi. Je la regardais avec un nouveau regard, mon émotion montait et sans vraiment réfléchir, tout en la regardant, j’allongeai ma jambe et lui caressai le mollet. Elle me regarda fixement et esquissa un sourire, que je pris pour un assentiment et je continuai à lui caresser la jambe. Le résultat ...
    ... fut immédiat, elle retrouva son sourire, sa gaieté, ce qui me fit très plaisir et m’excita.
    
    Après le repas, j’attendais fébrilement que Nelly aille dans la salle de bains. Je me dépêchai d’aller dans ma chambre pour mettre une super nuisette et montai dans la salle de bains.
    
    — Nelly, c’est Patricia.
    — Entre.
    
    Elle avait un déshabillé de nuit transparent, je ne voyais que ses seins et ses mamelons, puis en baissant mes yeux, son pubis et sa toison ; j’en eu la chair de poule et sentis mon ventre se crisper. Je ne sais comment je me suis retrouvée dans ses bras, collée à elle. Nous nous sommes regardées et j’ai senti ses lèvres sur les miennes : doucement, lentement, sa langue a touché mes lèvres que j’ai ouvertes un peu pour accepter son baiser. C’était doux, sensuel, langoureux, je sentais sa poitrine contre moi. Je n’ai pas résisté, je lui ai caressé les seins. J’y trouvais une douceur et une excitation jamais connues, surtout pendant que Nelly m’embrassait.
    
    Comme j’y avais pensé dans la nuit, j’avais envie de la caresser. J’ai glissé ma main le long de son corps pour arriver à son bas-ventre. Là, j’ai senti qu’elle écartait les jambes pour donner plus d’espace à ma main. Mon doigt a effleuré son clito humide, j’ai glissé mon doigt dessus. Quel plaisir ! En même temps, j’ai senti la main de Nelly dans mon sexe, elle commença à me masturber lentement. Je sentais mon sexe très humide, comme je ne l’avais jamais connu.
    
    Nelly, retirant ses doigts de mon sexe, les ...
«1234...»