1. Educatrices Ch. 01


    Datte: 25/06/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... fesses, peut-être même pouvaient ils apercevoir quelques poils follets dépassant de la lisiÈre de son slip .
    
    De les imaginer étendus sur leurs lits, commentant le spectacle en se secouant la queue à pleine mains, son ventre s'échauffait encore ; malgré elle, elle dessinait dans sa tête le contour de leurs queues, quelques regards furtifs l'avait convaincue de l'importance du paquet de Miloud, qu'il exhibait d'ailleurs volontiers dans ses jeans moulés, elle se représentait une longue queue brune, épaisse, émergeant d'un buisson frisé et noir.
    
    Comme tous les algériens, du moins d'après la rumeur, il semblait membré au delà de la norme, certainement beaucoup plus que son mari!
    
    Sa tête s'il savait le pauvre à quelles comparaisons elle se livrait!
    
    Les pantalons de son copain étaient beaucoup moins révélateurs et elle se perdait en suppositions quand à l'aspect du membre de Stephan.
    
    L'orage couvait depuis la fin de l'après-midi, Françoise se sentait excitée au plus haut point, les pointes de ses seins s'irritaient sur la dentelle du demi-balconnet qu'elle avait enfilé le matin .
    
    Elle était responsable du groupe des grandes, jeunes de 14 à 20 ans, toutes admises soit en raison de leur débilité, soit en raison de problèmes familiaux graves, parfois même pour les deux raisons .
    
    Les jeunes filles, échauffées par l'orage et par la proximité du groupe des aînés lui avaient mené la vie dure toute la journée, les querelles, les discordes, souvent motivées par des ...
    ... jalousies éclataient à tout propos : l'une trouvait que son petit ami lorgnait trop les autres filles, celle-là pensait que sa voisine aguichait son jules ...
    
    Enfin tout l'après-midi avait été de cette veine, elle se sentait épuisée à force d'intervenir pour séparer les jeunes femelles en rut .
    
    Maintenant, elle pouvait se détendre un peu,le repas s'était déroulé tant bien que mal, et à ce moment toutes les filles profitaient de leurs derniers temps libres avant le coucher, certaines devisaient dans la salle de vie, d'autres s'étaient retirées dans leur chambre pour y écouter des disques ou discuter de garçons entre copines, deux ou trois étaient parties retrouver leurs amoureux et devaient flirter, sinon plus dans quelque recoin de la propriété .
    
    Avec violence, la pluie se mit à tomber, bientôt de longs éclairs embrasèrent le ciel, les lumières vacillèrent à plusieurs reprises puis s'éteignirent totalement.
    
    La chaleur étouffante, les cris de panique des gamines apeurées, tout continuait à renforcer sa fébrilité.
    
    Brusquement elle s'aperçut que deux de ses donzelles n'étaient pas rentrées elles pouvaient se trouver n'importe où, certainement en train de flirter ou même plus.
    
    Françoise les imaginait la culotte descendue sur les genoux, leurs petits sexes exhibés devant les yeux de quelques garçons aux regards salaces.
    
    Cela lui rappelait ses premiers émois sexuels .
    
    Agée de 18 ans au cours d'une randonnée en montagne, un violent orage avait éclaté, contraignant ...
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