1. Educatrices Ch. 01


    Datte: 25/06/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    EDUCATRICES .
    
    Coulybaca (Texte personnel)
    
    Chapitre 1 : Françoise
    
    Ce jeudi vers 18 heures, Françoise, suivie de son groupe de jeunes filles pénétrait dans le hall de la piscine de la ville voisine, la chaleur torride qui avait régné toute la journée l'avait amenée à bousculer l'emploi du temps prévu .
    
    Depuis midi, les filles l'avaient pressée de s'y rendre afin de profiter pleinement d'une si belle journée.
    
    Affalés sur le ventre, autour du bassin découvert, les aînés, les garçons du groupe 6 semblaient les y attendre, tout bien réfléchi, peut-être les attendaient-ils vraiment, instruits de leur sortie par les grandes.
    
    En débouchant dans la piscine, son maillot une pièce noir la moulant, révélant sa lourde poitrine et ses fesses opulentes, à leurs yeux intéressés, Françoise s'était sentie dévorée des yeux .
    
    Sous les regards de tous ces adolescent braqués sur elle, insistant avec impudence sur ses seins, ses fesses, son sexe, une douce chaleur l'avait alors envahie .
    
    Pour cacher son trouble, elle s'était d'abord allongée sur une natte au bord de l'eau, quelques filles à ses cotés, ça et là, allongées sur le dos .
    
    Faisant fi des spectateurs attentifs, elle avait entrepris de reprendre son calme, intriguée de cette réaction inhabituelle ..... la chaleur ...... l'énervement peut-être .
    
    Les filles n'avaient pas tardées à l'abandonner, se précipitant à l'eau pour y chahuter avec leurs habituels soupirants .
    
    Rapidement Françoise, qui surveillait ...
    ... distraitement leurs évolutions, s'alarma de la tournure des événements : aux jeux innocents avaient succédé des attitudes plus suspectes, les jeunes gars, profitant des circonstances, caressaient les seins juvéniles, les fesses plus ou moins dodues de ses jeunes demoiselles qui ne s'en plaignaient pas, bien au contraire, ne protestant pour la forme que par des petits cris effarouchés, mais revenant se mêler de suite au chahut, aguichant par le geste les adolescents lorsque ceux ci leur prêtaient moins d'attention.
    
    Cet atmosphère trouble, pesant, lourd de désirs exacerbés, n'était pas sans résonner sur Françoise elle même, elle sentait son coquillage se dilater doucement, une chaleur étrange lui embrasait le bas-ventre, ses sens chaviraient peu à peu, elle se secoua, et, pour échapper à ce trouble naissant piqua une tête dans l'eau fraîche et se mit à nager à longues brassées, accumulant les longueurs de bassin.
    
    Bientôt Miloud et Stephan, deux adolescents parmi les plus âgés, la rejoignirent et nagèrent à sa hauteur.
    
    Ils entreprirent de la chahuter, sous l'eau ils passaient sous elle, lui agrippant les jambes pour lui faire boire une tasse, elle se défendait de son mieux et, prise par le jeu leur rendait la pareille.
    
    Brusquement, elle se sentit saisie par la jambe.
    
    Un des jeunes avait agrippé sa cheville puis suivant le galbe de son mollet, l'arrondi de sa cuisse posait la main sur sa taille .
    
    La peau de ses hanches se granulait sous la caresse insistante, à la ...
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