1. Il n'est jamais trop tard


    Datte: 24/06/2021, Catégories: fh, fhh, hagé, fagée, couple, cocus, Oral Partouze / Groupe fsodo, init, couple+h, cocucont, Auteur: RobertAnne62, Source: Revebebe

    ... gardien du temple qui accepte que mon majeur se joigne à la fête et, petit à petit, l’anneau s’assouplit, restant légèrement entrouvert lorsque je me retire pour amener mon gland à la fameuse porte de derrière. Je pousse, mais il résiste et je commence à regretter la crème miracle, lorsque ma femme écarte ses fesses avec ses mains et me dit :
    
    — Vas-y, pousse, n’aie pas peur.
    
    Un tel encouragement me fait forcer le passage, d’un coup de reins, pour me retrouver plaqué contre son dos, le sexe au fond de son cul. Bien sûr, comme on dit, elle l’a senti passer, mais pas un cri de douleur ne sort de ses lèvres. C’est vrai qu’à côté de Georges, c’est du petit calibre.
    
    Alors je commence à la baiser, mon sexe coulissant facilement dans son cul comme si un liquide le lubrifiait. Je rentre et je sors si facilement qu’un instant je pense me tromper, mais non, je suis bien dans son anus dont le cerbère se la joue plus en souplesse. Le conduit est étroit et je sens la peau de mon prépuce dégager mon gland à l’introduction alors qu’il le recouvre à la sortie. Il ne faudrait pas longtemps de ce traitement pour que je jouisse et heureusement que je suis moins sensible après avoir déjà éjaculé une première fois car je peux durer, encore et encore, pour limer ma belle.
    
    Ma belle enculée, que je ne reconnais plus tant elle semble hystérique et comme possédée, ne cesse de tortiller du cul tout en venant au-devant de mon sexe et, comme manifestement elle me trouve trop doux dans ma ...
    ... possession, elle crie littéralement :
    
    — Plus fort, plus fort, n’aie pas peur, allez, encule-moi, c’est trop bon.
    
    Et comme je lui obéis accélérant la cadence et la bourrant si fort qu’elle est projetée en avant :
    
    — Oui, comme ça ! Oh, que c’est bon ! Contiiinue. Je suis une salope.
    
    Et je poursuis mon travail avec rage.
    
    — Alors, chérie, tu aimes ? Ma salope apprécie ma queue dans son cul, hein.
    — Ouiiii, je viens, je viens, n’arrête pas.
    
    Bien sûr que je ne vais pas m’arrêter avant de l’entendre hurler sa jouissance – heureusement les fenêtres sont fermées – et cracher mon sperme dans son cul.
    
    Il nous faut un long moment pour reprendre notre souffle. Puis nous nous séparons, non sans échanger un doux baiser, peut-être un peu honteux de nous être laissé aller à cette brutalité.
    
    Puis nous avons repris notre quotidien, enfin je veux dire la vie de tous les jours agrémentée par des ébats torrides où nous nous livrons corps et âme à notre nouvelle sexualité.
    
    Souvent nous parlons de l’aventure de Georges et je ne peux qu’exprimer le regret de ne pas avoir assisté, voire participé à leurs ébats.
    
    C’est Anne qui a téléphoné à notre ami pour l’inviter à dîner. Je me souviendrai toujours de la tête qu’il a faite lorsque ma femme est arrivée pour servir l’apéritif, vêtue d’une robe en lin dont la transparence attire le regard vers les aréoles de ses seins et le petit triangle qui ne fait que mouler sa chatte.
    
    C’est avec plaisir qu’il a accepté de se joindre à ...