Il n'est jamais trop tard - Histoires de Sexe

Il n'est jamais trop tard

... plaisir de me comporter comme une salope et de jouir avec lui.
— Allons, chérie, donne-moi la télécommande et viens à côté de moi. Regardons ensemble.

Pendant la demi-heure suivante, j’ai revu sur grand écran ce que j’avais regardé caché derrière mon rideau. Anne par contre a été littéralement subjuguée par ce que le film montre de ses ébats, de ses cris de plaisir et de ce qu’elle pense être sa débauche. Je vois bien que, de temps en temps, elle me jette un regard pour essayer de deviner ma réaction. Elle qui se sentait déjà coupable doit être maintenant anéantie par cette femme à l’écran qui est si loin de la personne effacée et prude qu’elle est dans la vie.

Pour la rassurer, je la presse tendrement contre moi, lui montrant ainsi que tout va bien et que je ne réagis pas négativement à ce spectacle.

Enfin, les amants se rhabillent et le film s’arrête. Son visage se tourne vers moi dans l’attente de ma réaction. Je décide de la déculpabiliser en utilisant un langage un peu cru, en tout cas bien éloigné de nos habitudes, pour montrer que ce moment est une vraie rupture.

— Magnifique ! Eh bien, ma chérie, je suis heureux que tu te sois livrée entièrement à ton amant et qu’il ait pu te faire jouir si fort et par des chemins nouveaux pour toi. Voir cette grosse queue dans ta gorge est un hymne à la fellation et jamais je n’aurais pensé que ton cul puisse la recevoir en entier sans te déchirer. Oh, ma chérie, je te remercie de ce beau cadeau que tu m’as fait en te ...

... livrant sans retenue à notre ami ! Quant à Georges, sa réputation n’est pas usurpée, c’est un amant endurant et ses couilles doivent fournir une belle quantité de sperme à celle qui la reçoit au fond de sa gorge. Dis-moi, as-tu aimé le sucer et avaler son foutre ? As-tu aimé aussi te faire enculer ? Ce n’était pas trop douloureux ?

Je pose ces questions pour qu’elle puisse parler de ses émotions et de son plaisir aussi simplement que d’un événement normal et naturel. Elle hésite pourtant.

— Heu. Mais. Oh oui. C’était très douloureux au début. D’ailleurs, j’ai eu mal pendant plusieurs jours, mais après, quel plaisir ! Je ne savais pas que l’on pouvait jouir par là. J’ai bien aimé aussi le sucer et j’ai été surprise de pouvoir le prendre tout entier avec le gland bien au fond ou contre la joue. Quand il a éjaculé dans ma gorge, je n’ai pas pu faire autrement que l’avaler tellement il en a craché. Ce n’est pas terrible comme goût mais ça fait partie de vos fantasmes, vous les hommes, n’est-ce pas, de juter dans notre bouche ?
— C’est vrai, ma chérie, je reconnais, et j’en ai plein d’autres, dis-je en souriant.

Ma femme comprend immédiatement et, en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, nous sommes nus et mon sexe bien raide déjà englouti dans la gorge de ma nouvelle maîtresse. La dernière fois où il a été dans cette situation date d’avant mon mariage, avec une amie à la Fac, alors vous pensez !

Oh, Georges, merci pour tout. Elle me fait le grand jeu, suçant, ...